Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Swords, Irlande,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-02-24 – Soir  Partie 2     

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous avons entendu, ce n’est pas quelque chose qu’il faut se rappeler. Ce soir, nous sommes là pour la guérison. On n'a rien à faire, c’est lui qui nous guérit. Ces paroles sont guérissantes. Elles viennent atteindre nos pensées, elles viennent atteindre notre regard, notre écoute et nos paroles. Même si nous ne faisons rien, c’est là que lui a le plus de place, afin que certaines de nos actions commencent à guérir, et que nos sentiments deviennent des sentiments d’amour pour tous ceux que nous portons; donc, des sentiments qui guérissent.

Alors, d’autres soirées comme celle-là vont être données. Chaque rencontre, c’est une guérison. Dieu dit : «Il ne vient pas nous changer, mais il vient nous transformer». Ce sont des lumières pour nous et pour tous ceux que nous portons. Nous sommes l’Église et l’Église, c’est Jésus. Alors, à lui, à lui de faire de ses grâces ce qu’il veut. Amen.

Ce qu’on va faire dans la deuxième partie, ça fait quoi : une heure qu’on entend l’Esprit de Dieu nous parler? Plus que ça? Alors, il y a sûrement quelque chose que vous aimeriez éclaircir sur ce que vous venez d’entendre. Est-ce que vous êtes d’accord avec ça? Alors, c’est à vous toute la place.

Q. Il dit que c’est un enseignement très profond avec beaucoup à assimiler.

 

R. Jésus : Ce que le Seigneur prépare en les cœurs, il le prépare avec amour. Soyez patients, mes enfants. Je vous attends depuis si longtemps. À moi d’ouvrir votre intérieur, à moi de placer tout cela en vous, car vos idées sont très mélangées. Moi, je vais vous mettre de la lumière. Je viens percer les cœurs. Là où entrera ma lumière, elle guérira. Lorsque la pensée est guérie de ses blessures, le cœur commence à battre d’amour inconditionnellement et là, la parole devient une parole qui pénètre sans obstacle, et l’écoute devient l’écoute du cœur, et tous les mouvements sont donnés au Père.

Laissez-vous pénétrer par la lumière de Dieu et je vais vous aider, mes enfants. Je vais vous aider à comprendre que ces enseignements sont pour vous et pour tous ceux que vous portez en vous. Ce soir, mes enfants, parce que vous vous êtes abandonnés, des enfants ont pu comprendre l’Évangile dit par les prêtres. Voyez-vous, mes enfants, c’est important de vivre votre vie en le Christ; vous devenez pour vos frères et vos sœurs un livre ouvert. Vous ne pouvez comprendre ce que Dieu fait. Ayez confiance.

La purification de la chair est commencée. Vous avez entendu avec des mots simples ce que beaucoup de saints auraient voulu entendre. Je vais vous amener sur mon chemin d’amour. Vous aurez tous à mettre vos pas en mes pas. Tout deviendra de plus en plus facile à comprendre. Ce soir, vous avez été comme des tout petits nourrissons. Vous avez réjoui le Cœur de mon Père et cela, mon Père l’a voulu pour vous et c’est ce que vous avez besoin; et il sait que vous ne pouvez pas tous comprendre ce qui a été dit, mais vous avez tous vécu la grâce de mon Père. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il ne faut pas s’arrêter là.

 

Q. Tu as dit tantôt, tu as parlé d’un mouvement. Est-ce que ceci est un nouveau mouvement dans l’Église?

 

R. Jésus : Il n’y a rien de nouveau. Tout a été annoncé. Mais ce qui est pour votre temps, aucune personne avant ne l’a vécu, ni en ses pensées, son regard, son écoute, ses paroles, ses actions et ses sentiments. Mais vous avez tous été préparés par la Mère de Dieu le Fils. Tous les Saints vous ont aidés à vivre ce temps. C’est un mouvement dans l’éternité qui s’accomplit dans son temps.

Réjouissez-vous, mes enfants, pour ce que vous allez vivre, car depuis sept ans, j’ai parlé en les cœurs et tout a été pour vous le commencement. Depuis 2009, ce que vous allez vivre, enfants d’amour, c’est tout simplement goûter aux grâces qui vous ont été données. Il sera beaucoup plus facile pour vous d’entrer dans ce mouvement de purification de la chair. Ce que vous êtes, enfants d’amour, c’est le fruit de l’Arbre de la Vie.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons entendu depuis sept ans le Seigneur nous parler dans les cœurs. La première fois que j’ai entendu, c’est en 2001. Le Seigneur avait déjà préparé l’instrument que je suis par des visions, mais je n’ai jamais eu l’explication de ces visions. J’attribuais cela à tout ce qui était émotif. Ce n’est seulement qu’en 2001, lorsque j’ai entendu pour la première fois Maman Marie, que j’ai su qu’il y avait eu des choses qui n'étaient pas normales dans ma vie, parce que ce que je voyais, ce que je ressentais, eh bien, faisait comme remonter en moi ce que j’avais déjà vécu, mais que je ne pouvais pas savoir que ça venait du Ciel.

Lorsque Jésus a commencé à me parler, il m’expliquait l’amour, mais il disait qu’il parlait à tous ses enfants; alors, moi, je ne comprenais pas. Parce que j’étais toute seule à la maison, comment pouvait-il parler à tous ses enfants? C’est avec tous ses enseignements, ce qu’il disait et ce qu’il me faisait écrire, que j’ai commencé à comprendre. Il y a eu beaucoup comme des événements qui m’ont amenée là où je devais être. La première, ç’a été surtout la mort de ma sœur Rita. Lorsqu’elle est décédée, c’est tout de suite, tout de suite, dès cet instant, que le besoin de dire des chapelets, un deux, trois par jour est venu en moi.

J’étais coiffeuse lorsque j’étais jeune, oui, jeune, j’avais dix-huit ans. J’ai tout laissé cela lorsque je me suis mariée, mais j’ai fait profiter à ma famille du don que Dieu m’avait donné : la coiffure. Il m’en avait donné un autre : celui de garder des enfants; c’était de la joie pour moi. Vingt-huit ans que j’ai eu une garderie à la maison. À travers ça, j’ai enseigné à la pré-maternelle aux enfants et après, bien, comme les finances ne sont pas toujours faciles, hein, alors, on était toujours dans des vieux logements. Alors, j’ai appris la rénovation. J’ai fait cela au moins trente ans à prendre du vieux et à faire du neuf avec du vieux.

Quand Rita est décédée, j’étais toujours dans la rénovation. Le Seigneur mettait en moi tellement d’amour! Ah, que j’aimais dire le chapelet! En même temps, j’allais à un pèlerinage; je ne connaissais même pas avant ce qu’était de faire des pèlerinages. Alors, lorsque je suis arrivée là-bas et voir toutes ces personnes-là qui priaient ensemble, j’étais contente. Là, j’ai commencé à avoir de nouvelles joies aussi que je n’avais jamais ressenties : la Sainte Vierge apparaissait. Là, on parlait de ça. Je voyais. On me montrait même des images où on pouvait voir que la Sainte Vierge se manifestait.

Ma sœur est morte en 97, et cela a commencé fin 98 et toute l’année 99 et 2000. Comme j’étais dans la rénovation – et on était très occupés six jours par semaine, le septième, c’était la journée du Seigneur alors, je n’avais pas le temps de lire. Mais il y avait des gens qui, eux, parlaient, parlaient de Luisa Piccarreta, parlaient de Vassula. J’ai lu un livre; c’est le premier livre de Léandre Lachance. Ça, c’est comme si ça m’avait donné un élan. Avec ce qu’on avait dit de Luisa Piccarreta, la Divine Volonté, je ne connaissais pas ce que c’était, mais j’avais saisi quelque chose : qu’il fallait tout faire en Jésus. Alors, faire la vaisselle en Jésus, passer le balai, faire mes rénovations, eh bien, ça me donnait de la joie.

En 2001, lorsque j’ai entendu Maman Marie, il se passait des choses comme si on ouvre un barrage, là, ça coule puis on n'est plus capable de rien arrêter. C’est ce qui se passait dans ma vie. Entre temps, j’avais eu la chance de rencontrer le père Clément Provencher; alors, il s’occupait de mon âme, qu'il disait. Lorsque mon mari est décédé deux mois plus tard après que j’ai eu commencé à entendre Marie et Jésus – alors que j’écrivais ce que j’entendais – lui me maintenait toujours dans l’obéissance : "Fais ce que Dieu te dit".

J’ai su par Jésus qu’il ne fallait pas que je lise, regarder la télévision, ou quoi que ce soit, il ne le voulait pas. Mais comme j’étais dans la rénovation, je n’avais pas le temps non plus. C’est comme s’il avait mis les situations dans lesquelles je devais vivre. Jésus a commencé toujours par instruire, instruire, instruire les enfants de Dieu. Il m’instruisait à la minute. Lorsqu’il me disait : «Fais ceci, va, écris, ne t’occupe pas des corrections, je vais t’envoyer du monde qui vont t’aider», vous savez, quand on est vingt ans dans la garderie, on n'a pas d’amis beaucoup, on n'a que des enfants autour de nous. Mon mari, c’était un homme sage. On a élevé nos enfants, on a rénové, on était ensemble, et on était bien ensemble; alors, le côté social, eh bien, on n’en avait pas beaucoup à part de la famille.

Lorsque les écrits ont commencé, des gens que je ne connaissais pas, c’est comme si, sans le savoir, ils venaient. J’ai eu un professeur d’école, un deuxième, une secrétaire générale, Monique, je crois? Après, un Frère de l’Institution Chrétienne qui, lui-même, avait imprimé des livres. J’avais des personnes comme Nicole et Raymond qui nous aidaient aussi pour les fautes et, avec le temps, il s’en est rajouté, si bien qu’aujourd’hui, on est quoi? Cinquante quelque qui : on donne notre vie au Seigneur. Comme ces appareils que nous avons avec nous, eh bien, c'a été demandé à André et Jurek. Ce sont des personnes qui se donnent pour le Seigneur. Alors, on dit tous : "On a un bon Boss". Oui, c’est l’œuvre de Dieu. C’est vrai, c’est l’œuvre du Seigneur, elle n’appartient qu’à Dieu. Je disais à Nicole ce soir : "Sans les personnes qui viennent entendre, eh bien, je serais encore dans ma cuisine".

Jésus dit, lorsque je ne suis pas dans les rencontres : «Je t’aime, abandonne-toi, donne-moi tout». Mais les enseignements que nous avons eus ce soir, je ne peux que les entendre qu’à l’instant où vous, vous ouvrez votre cœur; alors, je répète.

La purification de la chair, c’est un mouvement d’amour en Jésus. Lorsqu’il dit que je suis une pécheresse, eh bien, c’est le Saint-Esprit qui me fait dire que je suis une pécheresse. Eh bien, en disant cela, bien, je sais qu’il s’occupe de moi. On est tous pécheurs et pécheresses parce que nous vivons dans une chair qui est assujettie au péché. Même si on est à la confesse, toujours à la confesse, il reste que nous portons en nous ces marques qui nous rendent faibles devant la tentation.

Ça fait sept ans, sept ans qu’il rassemble des enfants. En 2008 – décembre –, il a dit comme ça : «Lorsque sonnera 2008 moins une minute, minuit, là, tout sera accompli». Il venait de dire que tout ce que nous étions pour vivre était dans ces sept années-là. Alors, j’ai dit à Jésus : "Avant-hier, à la communion – parce que je vois mon intérieur – j’ai vu que j’étais toute petite et que Jésus me tenait par la main. Alors, il m’a emmenée. Il y avait une très grande lumière et il a ouvert une porte et lorsque nous, les deux, on a entré, c’était comme un endroit où il y avait des enfants qui devaient jouer là, mais j’ai pas vu d’enfants, mais je voyais comme un lieu où c’était pour des enfants. Alors, j’ai dit à Jésus : "Jésus, quand est-ce que ça va s’arrêter? Quand est-ce que la Grande Purification va arriver?" Il m’a dit : «Bientôt, mais il reste quelques rencontres encore». Alors, il a dit : «Il faut que tu continues.» Alors, je savais qu’il ne fallait pas que j’insiste, d’ailleurs, je ne l’aurais pas fait parce que lorsque je suis à l’intérieur, tout se fait sans que j’aie à faire quelque chose.

Alors, nous nous sommes retrouvées quelques heures plus tard dans une église anglicane. Je ne peux pas dire le nom en anglais là, mais on était dans une église où il y avait un Révérend. Et là, lorsque j’ai fermé les yeux, là j’ai entendu beaucoup de cris d’enfants. Alors, je savais qu'il y avait des enfants dans l’endroit où j’avais été parce qu’ils étaient dans la joie. Alors, j’ai compris que je devais obéir à Dieu et que ça donnait beaucoup de la joie aux enfants de Dieu.

Alors, des rencontres comme nous vivons ce soir, je ne sais pas quand ça va s’arrêter. Il m’a dit tout simplement : «Oui, il y aura encore quelques rencontres.» Quand j’ai dit ça à Nicole, elle a dit : "Ça va être bientôt : quelques". Mais elle a dit : "Oui, mais avec le Seigneur, on ne le sait pas". Alors, on a seulement qu’à vivre ce que nous avons à vivre.

C’est un mouvement qui est commencé depuis 2001, mais préparé depuis bien longtemps. Il nous a expliqué cela, je crois, que c’est lorsque nous avons été à Winnipeg dans une église polonaise. Il nous expliquait que le temps de l’éternité avait choisi son temps dans ce temps d’éternité, et que tout cela était fait depuis toujours parce qu’il connaît tout : Dieu. Alors, ce que nous vivons est déjà préparé depuis toute éternité, et tout est déjà accompli.

Si nous, Dieu veut que nous vivions la Grande Purification, eh bien, cela sera, parce que nous serons dans ce temps d’éternité, mais si nous ne le vivons pas – ce mouvement de la Grande Purification – nous saurons que nous avons été dans le mouvement de la purification qui amène l’accomplissement total. Nous sommes tous concernés. Depuis le premier jusqu’au dernier qui vivra la Grande Purification.

Jésus dit que les âmes du purgatoire nous aident à passer ce temps de purification et il dit que les saints sont sur la terre avec nous. Il nous fait vivre des mouvements d’amour, de paix, avec les âmes du Ciel et du purgatoire. Dans la Divine Volonté, il est de nous de vivre avec eux. La Divine Volonté, c’est vivre en Dieu, c’est de goûter à sa Volonté : on n’a pas à demander, c’est lui qui fait pour nous. Alors, si Dieu permet que nous entendions une âme du purgatoire ou du Ciel, c’est toujours pour nous apporter de la nourriture; ce n’est pas pour nous dire l’avenir, ce n’est surtout pas pour nous amener dans le passé, nous faire écouter une âme qui, elle, est dans la souffrance.

Les âmes qui sont dans la souffrance sont en enfer. Les âmes qui sont au purgatoire sont dans l’amour. C’est une purification d’amour; elles ont été enveloppées du manteau de l’Amour. Parce qu’elles ont accepté de se laisser purifier et se laisser purifier, ce n’est pas quelque chose qui est une joie comme lorsqu’on est devant Dieu le Père, elles se laissent purifier; ça veut dire que la souffrance est là. Elle est grande, elle est grande la souffrance pour elles. L’Amour, l’Amour les enveloppe, l’Amour les aide à être dans cette purification. Lorsqu’elles se laissent purifier dans l’Amour, et que l’Amour leur fait goûter à ce qu’il est : l’Amour, il vient à un moment donné où tout disparaît : la souffrance se laisse amalgamer par l’Amour. Elles goûtent à l’Amour avec ce qu’elles offrent à Dieu continuellement si bien, qu’à un moment donné, elles deviennent l’amour, la lumière et, oups, la lumière va rejoindre la Lumière.

Alors, lorsque nous sommes amour, n’est-il pas normal d’être avec ceux qui sont l’amour? Alors, si Dieu veut nous faire entendre ces âmes du purgatoire nous parler d’amour ou ces âmes dans le Ciel nous parler d’amour, nous n’avons qu’à vivre ce moment d’amour. Comment ne pas donner à Dieu le Père l’amour qu’il nous donne? Comment ne pas vouloir goûter à la joie que Dieu reçoit?

Un jour, une petite fille est venue au monde. Elle s’appelait Fleurette. Elle était entre les mains de sa maman de la terre. Elle écoutait son cœur battre. Elle était dans la joie, car elle goûtait à l’amour du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Et Dieu vint un jour lui enlever sa maman, car elle vivait les conséquences de ce monde : la grippe espagnole avait touché sa chair; alors son corps trouva le repos. La petite fille ne trouvait plus l’amour. Elle cherchait sa maman et elle ne l’a plus jamais retrouvée, car les bras qui l’avaient accueillie refusaient son amour. La petite fille voulait tellement lui faire plaisir, mais cette nouvelle maman n’avait pas le cœur à l’amour pour cette enfant, mais Dieu prenait soin d’elle. Il mettait sur sa route des personnes qui pouvaient la regarder avec amour.

Un jour, l’adolescente, elle fut accueillie par une famille qui l’accueillit comme si c’était leur fille. Là, elle acceptait cet amour, elle apprenait à aimer Dieu. Elle savait que la Mère de Dieu l’avait toujours protégée; alors, elle rencontra celui que Dieu voulait pour elle. Un enfant est venu de ce mariage, un autre, un autre et un autre. Elle offrit quatorze fleurs au Seigneur notre Dieu. Dans les moments les plus difficiles de sa vie, elle avait toujours son chapelet avec elle. À travers les bruits dans la maison, à travers les corvées qui s’accumulaient, elle donnait cela à Dieu. Elle était dans la joie pour Dieu malgré sa souffrance. Elle n’avait pu donner ce qu’elle aurait voulu donner à ses enfants, car elle n’avait pas appris. Ce qu’elle a donné, c’est un témoignage d’une femme qui se donne dans l’ouvrage par amour pour ses enfants afin qu’ils aient ce qu’ils ont besoin. Elle avait tellement manqué de nourriture étant jeune que la tablée était toujours pleine.

C’est avec maladresse qu’elle disait des 'je t’aime', car les enfants ne pouvaient que deviner ce mot à travers ses gestes. La rudesse du temps, la violence dans les sentiments ont durci les cœurs des enfants jusqu’au jour où ils ont regardé une vieille femme dans sa chaise roulante. Il ne restait que ses 'je t’aime' pour ses enfants et c’est ce qu’elle a donné jusqu’à la fin de ses jours : "J’aime mes enfants, je vous aime tous". C’étaient les mots qu’elle disait, et Dieu vint lui donner une force tout à fait spéciale : sa propre force, celle de passer d’ici au Royaume de Dieu.

Et je sais que ses enfants ont reçu le plus grand des trésors : sa chair. Sa chair est en la chair de chacun de ses enfants.

Maintenant qu’ils savent, ils doivent redonner à Dieu ce qui est à Dieu. Cette chair, ils l’ont reçue de cette femme qui, elle, l’a reçue de la mère, de sa grand-mère et ainsi de suite. Chaque mère qui reçoit la vie par l’homme accepte de Dieu de lui présenter la chair; et c’est ce qu’elle a donné : le devoir d’aimer toute chair qu’elle présente à Dieu. Nous devons aimer nos enfants inconditionnellement, qu’importe s’ils se droguent, s’ils sont alcooliques, s’ils sont infidèles hors de leur sacrement du mariage, qu’importe s’ils sont des voleurs, des tueurs : ils sont la chair de la chair.

Lorsque Maman Marie s’est tenue au pied de la Croix, elle se tenait debout près du plus grand des pécheurs, car ce qu’elle voyait, c’était la Chair Parfaite qui acceptait la chair de tous ceux qui faisaient souffrir son Fils. Quelle Mère peut aimer inconditionnellement tous les pécheurs jusqu’à encourager son Enfant à aller jusqu’au bout? «Porte-les, mon Enfant, j’ai senti en mon Sein ces chairs qui étaient pour te faire souffrir, et pas un instant ma prière s’est interrompue. Oh! mon Fils Adorable, maintenant que tu dois goûter à ce Sang qui doit couler par amour pour eux, je te maintiens dans mon Sein pour que tu reçoives ta propre force. Ce que tu m’as donné, c’est toi; ce que je te donne, c’est de toi : ta force, ton amour.» C’est ainsi que la Mère de Dieu parlait à son Fils et c’est ainsi que nous devons aussi aimer nos enfants. Chaque personne qui fait souffrir nos enfants, nous devons l’aimer. C’est Dieu qui nous le demande. Aimer inconditionnellement, c’est vivre la purification de la chair. Amen.

Merci Seigneur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous allons nous arrêter ici pour ce soir et nous vous refaisons l’invitation de revenir.