Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Swords, Irlande,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-02-25  - Soir  Partie 2

 

Jésus : Tout ce que vous êtes, enfants de ma Volonté, c’est la volonté de Celui qui s’est donné sur la Croix. Celui qui vient à l’appel de Dieu est prêt à ouvrir son cœur pour accueillir la force de Dieu. Il est prêt à tout renoncer, car les grâces de la sainte Miséricorde l’enveloppe. Il ne veut plus vivre dans ce monde plein de mensonges, car il devient la vérité, il devient ce que Dieu veut qu’il soit : un être d’amour pour tout ce qui est de Dieu. Il aime ce qu’il est pour les autres. Il n’a pas l’orgueil de se dire être plus grand, il est comme les autres.

La purification de la chair, c’est ce qui est en la chair, mais endormi depuis si longtemps. Seul Dieu peut demander à la chair : «Souviens-toi, souviens-toi de qui tu es. Rappelle-toi de tout ce que je t’ai donné. Tu es supérieur à tout ce que tu vois, car tout ce que tu vois je te l’ai donné. Tu es supérieur à tout ce que tu créeras, car tout ce que tu créeras est déjà en toi, car moi, le Créateur, je fais de toi un être de création. Tu es un être parfait, parce que tu es à mon image. Alors, ô chair, sois digne d’être devant moi, car je parle à ta chair, celle que je t’ai accordée. Sois dans ce que je te demande : le présent, car le présent est pour toi ta propre nourriture. Lorsque tu es dans le présent, tout ce qui a été dans ton passé ne peut t’atteindre, car à cet instant la Lumière est sur toi et tu ne peux être en dehors de moi.

Je suis, moi, le Rédempteur, ton Sauveur. Ta chair et ton âme savent que je t’ai sauvé, car ta chair pénètre le présent. Tout ce qui est présent n’est pas dans le passé, le passé qui t’a fait souffrir, car ce qui a été pour toi le passé, le futur, et tout ce qui a été contre toi est de l’imagination. Sors de cette imagination et tu seras dans ton présent. Comment feras-tu, si ce n’est que je te montrerai? Je te montrerai toutes les images en toi, je te montrerai tout ce qu’elles ont fait en toi et tu reconnaîtras que tout ce que tu as été n’est que mensonge. Tu es enfant de mon Père, tu appartiens à mon Père, et tout ce que tu es n’est que perfection. Je t’aime, mon enfant d’amour».

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu est en train de nous démontrer, c'est que la purification de la chair c’est réel, mais nous devons réaliser que nous avons vécu de tout ce qui est illusion, irréel. Regardons : lorsque nous disons 'nous allons devenir immortel', il semble que cela est irréel, pourquoi? Parce que nous avons de l’irréel en nous. Alors, pour nous, c’est irréel, on ne peut pas atteindre ça, c’est trop beau.

Nous avons un Dieu et il est éternel. Rien ne pourrait exister si Dieu n’avait pas voulu. Essayez de trouver une réponse sur tout ce qui existe en dehors de Dieu : tout est de Dieu, tout tourne autour de Dieu, là est la Vérité. On ne peut trouver une vérité en dehors de la Vérité. Qu’est-ce qui fait qu’il y a vérité? C’est qu’il faut qu’il y ait de la tricherie pour chercher la vérité; s’il y a de la tricherie, il y a donc quelque chose qui a repoussé ce qui était la vérité. La vérité ne cherche pas à se disculper, la vérité ne cherche pas à se cacher de ce qu’elle est parce que la vérité c’est la lumière, mais la tricherie n’est pas lumière, c’est la noirceur. Alors, tous ceux qui cherchent savent qu’ils n’ont pas trouvé.

On cherche toujours ce qui nous semblerait être la vérité; alors, ça veut dire qu’il faut qu’on se mette dans une situation pour vouloir chercher. Si nous sommes dans une situation pour chercher, cela veut dire que nous avons les deux pieds dans quelque chose qui n’est pas vérité, alors, on s’est donc perdu quelque part. La vérité ne cherche pas, elle est; elle n’a rien à prouver, elle est accomplie. Alors nous, nous avons toujours cherché la vérité, alors nous avons les deux pieds dans quelque chose qui cherche. Nous avons donc été dans quelque chose qui n’était pas la vérité. Nous venons de la vérité, alors on s'est perdus. Si on se savait être dans la vérité, on n’aurait pas besoin de chercher : on saurait.

Tout a été contre nous. Nous ne sommes pas des enfants de Dieu, nous sommes des grands qui nous nous sommes pris pour des dieux. Même nos petits enfants qui viennent au monde, on as-tu hâte qu’ils soient grands! Déjà tout petits, on les regarde et on leur apprend, on leur apprend, et on leur apprend; ils sont à l’âge de la tétée et on leur met une cuillère dans les mains. On veut les identifier comme nous nous sommes. On élève nos enfants comme nous sommes : des dieux. Nous nous faisons beaucoup confiance.

Dieu nous rappelle que nous sommes des tout petits bébés, que nous venons de lui et que nous avons tout à attendre de lui. Et il nous dit : «Vous allez renaître». Il veut qu’on retourne là où nous étions : dans son monde d’amour, là où tout nous est donné. Dieu a fait tout le cheminement que nous devons faire. On n’a pas à s’inquiéter de ce que nous allons vivre. Depuis des siècles et des siècles, l’homme ne cesse de se battre pour obtenir du pouvoir. Lorsqu’on veut obtenir du pouvoir, c’est parce qu’on cherche à avoir ce qu’on n’a pas. Ce que nous avons, c’est la vie en Dieu, c’est la puissance de Dieu. Il nous fait connaître ce que lui veut pour nous en ce moment même pour nous démontrer qu’il nous aime. Tout ce que nous entendons, nous devons le donner. Et comment pouvons-nous donner en ce moment même? Eh bien, c’est en lui laissant toute la place. C’est lui la nourriture que nous avons besoin. Nous avons en chacun de nous les enfants de Dieu et Dieu est en train de les nourrir.

La puissance de Dieu est sans limites et la purification est la puissance de Dieu. Il n’a plus besoin qu’on ait des armes entre les mains pour combattre l’ennemi, parce que le plus grand ennemi c’est nous-mêmes. C’est nous qui avons détruit notre vie en laissant pénétrer en nous tout ce qui était contre nous. On a seulement qu’à regarder ce que nous acceptons et nous allons nous apercevoir qu’on se détruit dans la façon de penser, d’écouter, parce qu’on veut écouter ce qui nous plaît, et ce que nous écoutons devient pour nous quelque chose qui nous motive; ça nous motive dans notre vie pour nous alimenter vers ce qui pourrait nous consoler. Alors, on aime se consoler avec les paroles que nous disons et que nous entendons. Si nous avons de la force après tout cela, eh bien, on réagit, mais on ne va pas tellement loin, parce qu'on s’aperçoit tout de suite que ce que nous faisons, c’est même pas une goutte d’eau dans l’océan.

Avec tout ce que nous avons entendu et dit, eh bien, on sait qu’on ne peut pas rien faire pour obtenir de la satisfaction face à nous-mêmes, parce que c’est face à nous-mêmes qu’on veut changer le monde. Je ne pense pas tellement au monde entier lorsque je veux changer le monde, je veux le faire par rapport à moi, à mes enfants. Voyez-vous, même cette petite goutte d’eau-là est vide. Comment pouvons-nous changer le monde pour nous satisfaire, alors que ce que nous voulons n’a pas de valeur?

Le Seigneur pourrait nous parler ainsi des années et des années et des années. Il en aurait à dire sur nous-mêmes, mais ce qu’il va faire, il va nous montrer, il va nous montrer tout ce qu’il y a à l’intérieur de nous; là on va réagir, là, ce que nous allons poser, c’est plus qu’une goutte d’eau dans l’océan. On va tout simplement déposer un mouvement de vie dans le Mouvement de vie. Une parole qui a été dite en nous et qui ne portait pas l’amour pour Dieu, pour nous-mêmes et notre prochain, est un mouvement de vie malade, car pensons qu’une seule parole dite en nous, par nous, porte des conséquences, parce que nous sommes mouvement éternel. Nous venons de la Chair Éternelle, donc une seule parole porte. Elle est vivante la parole. Même si elle est contaminée par tout ce que nous avons laissé entrer en nous, elle est quand même vivante. `

Voilà pourquoi nous sommes si malades, si engourdis. Parce que la parole vivante qui est malade a de la puissance, c’est comme une épée à deux tranchants : elle t’apporte le bien ou elle te fait vivre tes conséquences, ta douleur. Pour que ce mouvement de vie malade se laisse guérir, arrête de faire souffrir, il va falloir le donner à Jésus. Une fois que ce mouvement malade est donné à Jésus, il commence à prendre forme en nous : nous venons de réaliser que cela est important pour chacun de nous; une fois que cela est important pour chacun de nous, là nous sommes armés de quelque chose : de la grâce. Maman Marie nous donne des grâces afin que nous puissions nous servir de ce que nous avons en nous : la liberté d’enfants de Dieu. Là, avec ce que nous avons toujours eu de Dieu : 'je refuse la tentation', la tentation qui est à l’extérieur ne peut plus se servir du mouvement malade que la tentation avait elle-même logé à l’intérieur de notre mouvement de vie.

Pensons à un enfant, à un enfant qui voit un cornet sur la table : l’enfant approche de ce cornet. Il voit que ce n’est pas à lui; il voit que le cornet a commencé à fondre sur la nappe, mais il entend des pas et là, quelque chose se réveille en lui : la peur. Alors, avant même que la personne parle : 'C’est pas moi, c’est pas moi, c’est pas moi qui ai mis le cornet sur la table'. Maintenant : l’enfant qui approche et qui voit le cornet : 'Ouais, qui a mis le cornet sur la table?' Alors là, il se pose une question : 'Hey, je vais me faire chicaner'. Alors, un esprit de peur a été près de l’enfant et l’esprit de peur lui a fait ressentir la peur. Il n’a pas rejeté cet esprit de peur, il l’a laissé entrer en lui parce qu’à l’intérieur de lui il connaissait la peur, et comme il a répondu à la peur, là, il a vu tous les dégâts sur la table, car un esprit de malice est venu au côté de lui et il l’a tenté : 'Souviens-toi, toi aussi tu as sali la table lorsque tu as renversé le verre de lait, et ta maman elle a crié après toi; ce n'était pas gentil d’avoir fait ça'. L’enfant n’a pas refusé cela; il a accepté cela parce qu’il a pensé à cela, et plus il acceptait cela, et plus il s’abaissait. Là, un esprit accusateur est venu : 'Regarde, c’est ta faute'. Alors, il s’est senti comme accusé alors qu’il n’avait pas entendu sa mère l’accuser, il avait seulement entendu les pas. Alors la peur l’envahissait; c’est venu de l’extérieur. Il entrait dans cette peur et s’est mis à crier : 'Ce n’est pas moi, ce n’est pas moi' alors que la maman n’avait même pas ouvert la bouche.

Tout s’est passé à l’intérieur de lui parce qu’à l’extérieur de lui les tentateurs prenaient les mouvements malades et ils s’en servaient contre l’enfant. Tout n’était qu’illusion. Ce n’était que du mensonge, mais l’enfant, l’enfant a cru en cela parce qu’il avait en lui ces mouvements malades. Satan et les démons avaient fait pénétrer cela en lui. Ils se sont servis de la pensée, du regard, de l’écoute; ils se sont servis des paroles, des actions et des sentiments, et tout cela est devenu pour l’enfant quelque chose qui le faisait souffrir. Ce sont des mouvements de vie d’amour qui sont devenus des mouvements de vie blessés, malades. Ils n’auraient pas pu se servir de cela s’ils n’avaient pas contaminé auparavant l’enfant. Pourquoi un tout petit enfant a des mouvements de vie contaminés? Il a reçu la chair de la chair : sa mère; son père a donné la vie en la maman et la création s’est faite pour l’enfant, mais c’était toujours avec la vie du père, de la mère qui forme la chair. Alors, si la vie est contaminée, la chair est contaminée, cela forme une chair contaminée. Alors l’enfant, en naissant, porte les conséquences des mouvements de vie malades, ils se sont logés dans la chair de l’enfant.

Dieu vient nous démontrer que nous avons en nous la liberté de refuser cela. Lorsque nous nous apercevons que nous nous sommes laissé tenter par Satan, nous devons donner cela : causes, choix et conséquence à Dieu et là, nous allons avoir les grâces, les grâces pour refuser : "Oui, je refuse d’avoir peur parce que je vois un cornet sur la table; oui, je suis ton enfant; oui, Jésus, tu as tout pouvoir d’envoyer cet esprit impur au pied de ta Croix, parce que je sais que tu vas guérir mon mouvement de vie malade et que ta Mère va continuer toujours à me donner des grâces afin que je continue ma purification." Alors, comme il a voulu attaquer l’enfant afin de manipuler un mouvement de vie, bien, ce mouvement de vie commence à guérir.

Satan a voulu s’en prendre aux enfants de Dieu. Il voulait atteindre le Fils de Dieu. Il ne voulait plus qu’on croit que Jésus était le Fils de Dieu le Père. Eh bien, Jésus amour, Dieu le Père amour, le Saint-Esprit amour va se servir des enfants de Dieu afin d’envoyer tous ces esprits impurs au pied de la Croix. Alors, à cet instant, lorsque tous les anges déchus seront au pied de la Croix, là il y aura la victoire sur la mort éternelle. Maman Marie va nous donner des grâces et nous, nous ferons la Volonté de son Fils. Il n’en tient maintenant qu’à nous de faire la Volonté de Dieu. Ce mouvement est commencé et Dieu a dit : «Ce qui est commencé ne s’arrêtera que lorsque tout sera accompli. Rien n’arrêtera ce mouvement. Ce qui est commencé se poursuit. Je frapperai de l’intérieur les cœurs de pierre, et de l’intérieur je ferai exploser ce cœur de pierre».

Un jour, à la communion, Jésus me montra... Il avait, à l’Offertoire, – j'avais les yeux fermés, je vois mon intérieur – il avait mis une pierre dans mes mains; oh! c’était une pierre qui était très dure, comme le marbre. Il a dit : «Avance». Alors j’ai avancé. Il a dit : «Avance». J'ai avancé avec la pierre. Alors, à un moment donné, il a dit : «Dépose cela». Alors, j’ai déposé la pierre et ça semblait être comme au côté de moi, vers ma droite, et là j’ai vu, j’ai vu un rayon qui venait d’en haut et qui, comme un laser, a pénétré la pierre. À l’instant où le rayon a percé la pierre, ça l'a éclaté. Ce que j’ai vu, c’est comme toutes des petites particules de lumière. Alors j’ai entendu la voix de Jésus : «C’est par l’intérieur que je changerai les cœurs; les cœurs de pierre redeviendront des cœurs de chair».

Voilà pourquoi il vient parler en nos cœurs. Nous recevons des grâces de guérison, ce qui fait que, nous, on obtient des grâces et ces grâces nous inondent de lumière, et c’est cette lumière qui vient du Ciel qui va percer les cœurs. Et tout se fait de l’intérieur. Et nous, qu’est-ce que l’on fait si ce n’est qu’on donne notre oui à Dieu? Et Dieu se sert des tout petits de ce monde, parce que c’est les tout petits qui se donnent à Dieu. Ils ont appris qu’ils ne peuvent pas changer ce monde mais que Dieu peut tout. Ils apprennent que Dieu est la seule puissance que nous avons en ces temps. Pourquoi ces temps? Pourquoi ce temps dans cette éternité? Parce que Satan a frappé notre intérieur. Il a donné au monde le pouvoir. Il nous a fait goûter, Satan, à tout ce qui était défendu. Nous n’avons pas pris garde de nous protéger en allant vers Dieu. N’oubliez pas qu'Adam, lorsqu’il s’est laissé séduire, s’il avait été vers Dieu, il aurait eu la force, la lumière de comprendre qu’il était en tentation.

Satan, il a dit : "Laisse-moi tenter ce monde, je te ferai oublier d’eux". Eh bien, Dieu a dit : «Tente-le». Et regardez ce que nous sommes devenus. Nous sommes devenus des enfants qui, a un moment donné, se sont laissé séduire, à un tel point aussi qu’on se disait : 'Il n’y a plus de religion'. Depuis les dernières années, les jeunes, le sel de la terre, ne produisent plus. Qu’est-ce qui conserve, si ce n’est que le sel? Enlevez le sel et rien ne se conserve, tout se perd. Alors, on regardait les jeunes et on se disait : 'Il n’y a plus de foi'. Mais on ne voyait que l’extérieur. Dieu prenait soin de ses enfants.

Dieu a mis autour de nous des enfants qui avaient la foi. Il avait implanté sa Croix en notre cœur et ce qu’il avait implanté est demeuré : l’amour pour la Croix, l’amour pour Celui qui nous a sauvés, l’amour pour Celui qui a répandu son Sang sur chacun de nous. Personne n’a pu nous enlever ça. Aucune loi humaine n’a pu remplacer la Loi de Dieu, la Loi d’amour, jusqu’à mourir nous aussi par amour : cela est en nous. Regardez, depuis tout temps, dans l’Ancien Testament comme dans le Nouveau Testament, il y eut toujours des enfants martyrs. Plus le sang des enfants de Dieu coulait et plus on goûtait au Sang de l’Amour; plus on goûtait au sang des martyrs, plus on se disait : "Oui, je veux aimer à mon tour parce que je me souviens, je me souviens de ceux qui étaient avant moi et ont cru en ce que moi je veux croire". C’est la vérité sous nos amas d’illusions.

Dieu a toujours conservé cela en nous et c’est ce que nous, nous avons besoin pour avancer. Notre foi est en nous, on ne l’arrachera pas. On peut nous couper la tête, mais on ne peut pas nous enlever ce qu’il y a à l’intérieur de nous, car nous sommes éternels. Nous avons en nous notre éternité et notre plus grande victoire maintenant sera que nous nous détachons de nos idoles. Nous commençons à nous détacher de toutes les images qui sont entrées en nous. Coller une image sur le mur et mettez-y de l’eau bénite, tranquillement, ça va comme commencer à se décoller. On va l’aider un petit peu parce que l’eau bénite ça change une personne. Une fois qu’elle a commencé à se décoller, eh bien, elle n’adhère pas beaucoup au mur, là elle perd de l’importance pour nous. On la trouvait belle avant, maintenant on ne la trouve plus belle. On détourne notre regard de cette image et comme nous sommes une beauté intérieure par Dieu, cette image n’a plus sa place. Alors, nous n’avons plus notre place dans ce monde, ce monde orgueilleux, menteur, hypocrite. Nous apprenons à nous connaître. C’est notre intérieur qui nous instruit maintenant, ce n’est plus l’extérieur. Ces machines, ces machines que Dieu utilise vont atteindre notre cœur et nous reconnaîtrons que cela est de Dieu par notre cœur, car nous aurons mis Dieu en avant de nous, car nous aurons demandé à notre Dieu : "Montre-nous, instruis-nous, guéris-nous, libère-nous".

Oui, oui, oui, oui à l’Amour. Ta Volonté. Amen.