Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Taillis, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2009-03-11 – P.M.   Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que vous êtes fatigués? – Non – Nous allons continuer. Alors, ce que nous avons entendu, il y a probablement des questions qui ont monté en vous. Alors, on va s’entraider et vous allez poser des questions et l’Esprit Saint va répondre.

 

Q.  Comment on sait lorsqu’on est en état de grâce?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C’est lorsqu’on rayonne comme notre âme, lorsqu’on a la paix en nous, lorsqu’on ressent de la joie, de l’amour pour Dieu, pour nous-mêmes et pour notre prochain.

Lorsqu’on porte de la colère envers notre frère ou notre sœur, eh bien, Jésus dit : «Laisse tout et va demander pardon». Lorsqu’on ne peut pas demander pardon : «Va demander pardon au pied de la Croix» : la confesse. Lorsqu’on est triste, c’est parce qu’on porte en nous de la souffrance d’avoir fait de la peine à notre prochain, envers nous-mêmes et envers Dieu. La tristesse, c’est quelque chose qui nous empêche d’être amour. Alors, demandons de l’aide, demandons de l’aide soit par la prière, et la prière va nous montrer, soit que nous sommes en offense envers les dix commandements de Dieu, à la Parole de Dieu, ou soit que notre chair est dans une tentation. Si nous ne sommes pas dans la paix, allons à la confesse.

L’âme pure devient pour nous de la nourriture. C’est l’âme qui nous nourrit, c’est l’âme qui reçoit de Dieu les grâces pour nourrir nos pensées, notre regard, nos paroles, notre écoute, nos actions et nos sentiments. Une personne qui est en état de grâce a la joie de vivre, elle fait confiance en Dieu. Si elle s’inquiète pour ses enfants, elle reçoit de la force de Dieu pour retrouver sa paix, elle reçoit des grâces qui viennent de Dieu par l’âme pour qu’elle puisse être dans son harmonie, elle, avec son âme. L’être que nous sommes, le petit enfant, doit reconnaître être dans la joie de Dieu.

Satan fait tout pour qu’on ne comprenne pas que nous sommes en état de grâce lorsque nous venons de la confesse. Il aime nous faire souffrir et il se sert de notre chair pour nous faire douter du sacrement de la Confession. Lorsque nous, nous doutons de notre état de grâce alors que nous venons de la confession, eh bien, refusons : je refuse. Maintenant, servons-nous de notre droit d’enfants de Dieu. Nous devons être vigilants. Lorsque Jésus a dit : «Tenez vos lampes allumées, veillez et priez», eh bien, on ne peut être éveillés que si la grâce nous allume de notre intérieur. Nous devenons une lumière pour nos pensées, notre regard, notre écoute, nos actions et nos sentiments.

Lorsque Jésus nous a dit d’être dans la prière, eh bien, la prière aide notre âme à nous reconnaître comme étant dans la joie de Dieu. Et là Dieu nous parle : «Pourquoi tu t’inquiètes pour ton enfant? Pourquoi tu t’inquiètes pour ce monde? Aie confiance en tes prières, aie confiance en ce que tu fais. Lorsque tu ne fais pas confiance en tes prières, ton âme me supplie de t’accorder des grâces de paix, et là, je te donne des grâces de paix. Mais je veux plus que cela : je veux que les grâces de paix atteignent tes enfants. Alors, cesse de t’inquiéter, c’est moi qui prends soin d’eux». C’est ce que Dieu veut nous faire réaliser.

Notre âme en état de grâce nous donne les grâces pour nous-mêmes. Et lorsque ces grâces surabondent, ça coule à l’extérieur pour aller rejoindre nos enfants, nos petits-enfants, les enfants du monde entier. Mais lorsqu’on est inquiets, ce n’est pas péché d’être inquiet, mais notre âme, elle, elle voit, elle voit le petit être qui est inquiet, alors elle nous donne des grâces, parce que Dieu veut qu’on cesse de s’inquiéter, et les grâces vont à nous. Mais cette inquiétude-là a fait en sorte de faire comme un barrage : elles ne peuvent pas couler vers nos enfants. Alors, c’est ce que Dieu veut qu’on réalise : être en état de grâce. C’est très important. Cela a toujours été et encore plus aujourd’hui.

Maintenant que nous savons que nous sommes dans le temps de la Révélation où tous les corps corruptibles vont redevenir des corps incorruptibles, eh bien, nous devons prendre soin de notre âme, nous devons avoir confiance en nos prières, nous devons faire confiance en Dieu et dire merci, parce que cela sera un doute de ne pas avoir confiance en Dieu, alors il faudra refuser : 'Je refuse cette attaque. Merci, Jésus, d’envoyer cet esprit au pied de la Croix. Merci de guérir mes mouvements de vie malades. Merci Marie de nous combler de grâces.

Sans Marie, nous ne pourrons pas persévérer, car c’est elle qui a reçu toutes les grâces nécessaires pour nous aider à persévérer. Lorsque Marie a été choisie, on a entendu dire – Dieu parlait à Satan – : «Je mettrai une hostilité entre toi et la femme et tu la mordras au talon et elle t’écrasera la tête». Il ne pouvait pas mordre le talon de Marie, elle était pure. Il pouvait mordre ses enfants. Nous sommes le talon de Marie et Marie va nous maintenir dans la grâce. Nous allons persévérer et elle écrasera la tête de Satan. Amen.

 

Q.  Vous employez souvent le mot chair. Je me demande ce que ça veut dire parce que je pense au corps et il y a une différence entre les deux. Est-ce que vous pouvez un peu expliquer?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La chair, c’est le corps. La chair, c’est le temple de notre âme, c’est tout notre ensemble. La chair c’est matière, le corps est matière.

 

Q.  Tout à l’heure, on parlait de l’état de grâce et ici il n’y a pas de barrage parce que c’est facile, parce que tout le monde est vraiment dans la joie et la paix et dans l’amour de Dieu. Mais quand on rentre chez nous avec un mari qui ne croit pas, qui a du mal à croire, avec les enfants qui sont divisés, qui ne vont pas comme ici dans le sens où on aimerait qu'ils aillent, comme c’est difficile de bien garder la paix de Dieu en nous et comment faire pour bien agir?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le silence. Là, c’est le temps de nous servir de notre droit d’enfants de Dieu. Lorsque je viens de m’apercevoir que je viens de parler alors que j’aurais dû garder le silence : "Je te donne causes, choix et conséquences. Je refuse cette attaque. Merci Jésus de l’envoyer au pied de la Croix – c’est nouveau!! – Merci, Jésus de guérir tous mouvements de vie malades". Voilà que nous allons apprendre avec la force de Dieu. C’est Dieu qui fait tout pour nous, mais Dieu ne peut le faire que si nous le lui demandons. C’est ce qu’il nous apprend. "Merci Marie de nous combler de grâces" : un esprit impur au pied de la Croix.

Sept autres en reviennent. Oh, que c’est dur de garder le silence! Pourquoi? Parce que les esprits impurs disent : 'Tu vois, tu n’es même pas capable de suivre ce que tu viens d’entendre. Es-tu sûr que ce que tu viens d’entendre c’est vrai? C’est long refuser, remercier, tu n’y arriveras pas. Regarde ton mari, ton mari ne te croira pas. Penses-tu qu’il va changer, ton mari?' Voilà sept démons. Alors, lorsqu’il n’y a pas de paix, de joie, d’amour, disons : "Je refuse cette tentation. Merci de l’envoyer au pied de la Croix. Guéris-moi, guéris mes mouvements de vie malades. Maman, comble-moi de grâces". Et après, on recommence. Mais il se passe quelque chose : c’est que nous retrouvons la paix plus vite et ça, nous pouvons en témoigner, parce que depuis mai 2008, beaucoup de personnes au Canada, ceux qui ont assisté à des rencontres avec l’agir de Dieu, ont commencé et cela a fait que nous retrouvons notre paix.

Nicole, peux-tu venir témoigner qu’est-ce que ça produit chez toi refuser au pied de la Croix? Comment tu as vécu ça en premier et maintenant voir si tu as du changement.

 

Nicole : Je pense que ce que ça fait pour moi, c’est comme si le fait de le faire cet enseignement dans une obéissance aveugle, ça fait que l’Esprit Saint...  On est un témoin de l’amour, je suis, on est comme un témoin émerveillé de ce que l’Esprit Saint fait. On sent sa présence d'une façon si claire, si manifeste. Au début, c’est pour des grosses choses comme la colère, l’envie, la jalousie, ça, ça ne s'en va pas non plus malheureusement. Ce sont les mêmes attaques, mais avec le temps aussi, on voit que l’Esprit Saint il ne nous lâche pas d’une fraction de seconde. Il nous fait voir des petites choses qui, avant, nous échappaient carrément. Ça donne un discernement comme aussi la dame qui disait tantôt : on retourne dans nos familles, notre mari ne partage pas notre foi, tout ça, mais on dirait que ça devient comme un réflexe la majorité du temps, c’est comme une seconde nature. On passe nos journées, soixante fois par jour, soixante-dix fois par jour : "Je te donne, Seigneur, causes, choix et conséquences, je refuse cette tentation," tout ça, tout ça, tout ça. Et des fois on le dit comme un robot, mais des fois on le dit avec une joie et un élan d’amour. On voudrait le dire tout le temps comme ça, mais je ne suis pas rendue là; mais même si on le dit comme un robot, peu importe, le Seigneur écoute notre prière et ça porte du fruit et c’est vraiment comme la Fille du Oui le disait, on retrouve notre paix beaucoup plus vite qu’avant, mais aussi il y a des fois que c'est vraiment une légion qui vient là. Des fois ça peut durer une journée entière. Ce n’est pas de la magie. Pour certaines choses, pour une douleur, on sent une douleur, on la refuse, elle s’en va. D’autres fois, on peut la refuser pendant un an et elle est encore là. Alors, c’est la même chose pour les sensations de doute, d’inquiétude, de jalousie. On peut donner pendant deux heures avant qu’on réussisse. C’est mystérieux, je ne sais pas.

 

Francine : C’est que nous portons tous les enfants de Dieu depuis Adam et Ève. Alors, lorsque nous refusons une tentation, comme Nicole disait, la jalousie, eh bien, ça revient et ça revient, mais il se produit que la jalousie, dès le début, commence à perdre son pouvoir sur tous les enfants de Dieu et pas seulement sur nous. Voilà.