Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Toledo, Ohio

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-10 – Soir  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, si vous voulez bien, nous allons nous retirer à l'intérieur de nous pour prendre ce temps avec le Saint-Esprit, car les réponses seront de Dieu et non pas de la volonté humaine. Voilà pourquoi nous devons poser des questions en ce qui concerne tous nos frères et nos sœurs. Si nous demandons : "Est-ce que je vais trouver un mari ou est-ce que mon mari va m'endurer alors que je ronfle?" Posons des questions qui vont nourrir nos frères et nos sœurs, en passant par nos enfants. Laissez parler votre cœur. C'est votre cœur qui doit se lancer en avant. C'est à vous.

Q. J'ai une petite-fille qui a 21 ans. Elle est tellement occupée qu'elle n'a plus le temps d'aller à l'église. Je l'ai consacrée au Cœur-Sacré de Jésus, je prie pour elle. Est-ce qu'il y a autre chose que je suis censée faire ou est-ce que je dois juste faire confiance qu'elle est entre les mains de Jésus?

R. Jésus : Le Cœur de ma Mère est en votre cœur. Aucun cœur ne peut battre d'amour pour son enfant si ce n'est que ma Mère a connu le Cœur de l'Amour. C'est comme si ma Mère avait nourri votre cœur par les grâces de la maternité.

La mère qui s'inquiète pour son enfant doit apprendre que son enfant appartient à Dieu. C'est mon Père qui a choisi les mamans afin qu'elles portent ses enfants. C'est mon Père qui donne les grâces maternelles afin que la maman puisse découvrir que son cœur est à Dieu. Si le cœur d'une maman prie pour son enfant afin que son enfant puisse venir à moi, c'est que je prends son cœur et je lui dis : «Je t'aime, aime-moi. Donne-moi ce qui est à moi. Ton enfant est mon enfant, je te l'ai confié. Lorsque tu pries et que tu pries avec mes grâces, tu apprends à ne pas t'inquiéter, tu apprends à reconnaître que je suis le Père et que tu es l'enfant de mon enfant». Qui est l'enfant, ma bien-aimée, si ce n'est que vous êtes mes enfants?

Je donne à chacun de vous des grâces afin que vous puissiez prier pour vos enfants qui sont mes enfants. Votre enfant est parmi mes enfants et vous faites partie de mes enfants. Tout cela pour vous faire comprendre que lorsque vous priez, priez pour tous mes enfants, afin que tous les enfants reçoivent la grâce de l'amour pour Dieu. Ainsi, chacun des enfants que je vous ai confiés reçoit de tous les enfants la grâce qui lui est accordée par Dieu. Vous découvrez la paix, vous découvrez la joie de toujours être devant Dieu le Père qui prend soin de tous les enfants par tous les enfants. Lorsque vous priez pour un seul enfant, c'est comme si vous demandiez à Dieu : laisse tomber une seule goutte d'eau sur la terre. Moi, je veux faire pleuvoir mes grâces sur tous les enfants. Ainsi, chaque enfant va recevoir une pluie de grâces, et dans cette pluie de grâces il y aura l'abandon, afin que chaque enfant comprenne qu'il doit s'abandonner entre les mains de Dieu. Je SUIS est avec vous.

Dieu le Père : «Lorsque vous priez, priez avec le Cœur de ma fille Marie. Soyez assurés que je suis auprès de vous. Ne demandez rien de ce que, moi, je ne peux vous accorder. Je suis l'Amour, et tout ce qui est amour est dans le tout de mon Être. Laissez-moi vous combler, laissez-moi combler ceux que vous aimez en priant avec joie, paix et amour. Lorsque la tentation vient près de vous, refusez. Mon Fils va prendre l'esprit impur et l'envoyer au pied de la Croix, sa Croix, et moi, je vais accorder au monde des grâces qui guériront et libéreront. La Mère de Dieu le Fils va vous accorder des grâces, parce que voici des jours où les enfants auront à laisser purifier leur chair.

J'appelle tous les enfants à l'abandon. Priez pour vos enfants avec mon amour. Soyez dans la paix avec mes grâces. Allez vers les sacrements avec confiance. Recevez tout de votre Dieu en vous aimant. Aimez vos frères et vos sœurs, car ils sont mes enfants. N'ayez pas de pensées impures envers l'Église, une seule pensée contre l'Église est une pensée contre mon Fils. Ayez la foi et j'accomplirai. À vous, mes enfants, de choisir si vous voulez être pour Dieu des enfants d'amour.»

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu veut pour nous, c'est l'abandon. Dieu veut qu'on lui laisse ce qui est à lui. Alors, laissons-lui nos enfants, nos petits-enfants, notre famille, il nous donnera au centuple. Lorsqu'on s'inquiète pour nos enfants, on forme des barrières et on empêche les grâces de circuler. Dieu aime nos enfants comme il nous aime. Plus on lui donne de la place, et plus il prend sa place. Nos pensées deviennent les pensées de Dieu le Fils, et Dieu le Fils purifie et il libère. Alors, il le fait aussi pour nos enfants. Lorsque nous sommes abandon, eh bien, cet abandon-là va d'enfant en enfant, d'enfant en enfant, sans que nous on ait besoin de toujours leur dire : 'Tu ne vas pas à la messe aujourd'hui?' Oh! on n'a pas besoin de parler, des fois nos yeux parlent! Eh bien, nos enfants ont besoin de voir la foi.

Chacun va recevoir et ça va arriver là où Dieu le veut : dans le cœur de notre enfant. Il n'y a que Dieu qui voit ce qu'on ne voit pas. Si, dans notre prière, on prie pour les enfants de Dieu : on met devant, en premier devant nous, ceux qu'on aime les plus près, et on met près de Jésus – juste au pied de la Croix, là, pour que le Sang descende – les personnes qui sont les plus loin de Dieu – nous, qu'on appelle nos ennemis : ceux qui font la guerre, ceux qui causent l'inceste, les avortements – et qu'on prie avec amour, voilà que Dieu passe, et là, il guérit de la jalousie. Alors là, quelqu'un qui guérit d'une jalousie, voici qu'un autre reçoit à cause de lui : il reçoit des grâces pour qu'il puisse partager ce qu'il a en trop. Voici qu'à cause de cette personne-là qui partage, voilà qu'une personne est capable de parler à son voisin parce qu'il lui a pardonné sa faute. Voilà que la personne qui reçoit ce pardon commence à penser que, lui, n'a pas pardonné à celui qui a violé son enfant; voilà qu'il reçoit une guérison de cœur : il est capable maintenant de regarder son enfant sans penser à celui qui lui a fait du mal. Voici que son enfant découvre que son père est capable de l'aimer. Cette petite fille commence à avoir de meilleures notes à son école. Voilà qu'un petit ami, lui, voit combien elle a changé parce qu'elle aime son papa; avec de la paix, lui, il est capable maintenant de ne plus s'échapper au lit.

Nous avons tous compris ce que Jésus, Dieu, fait, jusqu'à venir à notre enfant qui aura quelque chose dans son cœur : de l'amour pour elle-même, de ne pas avoir peur de déplaire à sa mère, à son père, parce qu'elle ne va pas à la messe. Lentement, ça, ça va se guérir. Voilà que le besoin, un jour, de se lever pour aller remercier Dieu, est en elle. Voilà l'agir de notre Dieu. Le temps appartient à Dieu. Ça ne nous appartient pas. Il n'y a que Dieu qui sait ceux qui ont besoin et ceux qui vont accepter les guérisons. Mais lorsqu'on s'inquiète, voilà que des barrages se font. Alors, où s'est arrêtée la grâce? Voilà pourquoi Dieu nous dit : «Abandonnez-vous».

Nous devons faire confiance en Dieu. Dieu est en train de transformer ce monde. Il a commencé depuis qu'il est venu sur la terre. C'est nous qui avons la tête dure, mais Dieu a déjà accompli puisqu'il l'a dit à son Père : «Tout est accompli». Amen. Merci, Seigneur.

Q. Comment est-ce que Jésus se sent quand il voit la façon qu'on se comporte à l'église : le manque de révérence devant sa Présence, les gens qui parlent entre eux, certains qui vont communier en mâchant de la gomme, d'autres qui vont communier sans être allés au sacrement du Pardon, la façon dont certains sont vêtus…

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu regarde, ce sont nos blessures. Dieu veut ses enfants. Sa Passion n'est pas terminée, elle est toujours présente. Il se donne constamment pour chacun de nous. Il veut prendre ce qu'il y a de meilleur en nous et le présenter à son Père, et ce qui blesse son Père, il le porte encore. La Passion du Christ est toujours présente. Il ne juge pas ses enfants. Il les aime inconditionnellement.

À nous de prier pour nos frères et nos sœurs avec ses grâces qu'il nous accorde. Par sa Passion, il nous donne des grâces afin qu'on puisse aimer, afin qu'on ne puisse pas juger, afin qu'on puisse être comme lui : aimer inconditionnellement le pécheur, être prêts à le porter sur ses épaules : 'Tu ne sais pas faire ta génuflexion? Monte sur mes épaules, moi, je vais la faire pour toi. Tu ne t'inclines pas la tête devant ton Dieu? Moi, je vais embrasser le plancher afin que tu puisses comprendre que je t'aime et que je ne veux pas te juger, je ne veux pas te regarder'. Comment peut-on faire cela si ce n'est qu'avec les grâces de Celui qui nous regarde? Aimer Dieu, c'est s'aimer. Aimer nos frères et nos sœurs, c'est prier, prier, prier la Mère de Dieu pour qu'on puisse avancer dignement devant son Fils, son adorable Dieu.

Chacun de nous sommes indignes d'avancer à cause de notre chair qui est assujettie au péché, mais par la Croix, par le Christ, par la Mère de Dieu qui s'est associée, avec les grâces, à la Passion du Christ, ils nous rendent dignes. Chacun de nous avons une chair meurtrie par le péché. C'est Satan qui est l'auteur de nos souffrances et il use de nos souffrances pour nous faire encore et encore plus souffrir. Lorsque nous regardons quelqu'un avancer en mâchant de la gomme, lorsque nous voyons quelqu'un avancer vers notre adorable Dieu alors qu'il regarde un peu partout, Satan se sert de notre souffrance pour nous maintenir dans le jugement. Il ne veut pas qu'on porte notre frère ou notre sœur, il ne veut pas qu'on avance avec humilité, il veut qu'on pense comme celui qui était, dans l'Évangile, en face de Dieu : le pharisien. Nous sommes tous des publicains et c'est notre place : en arrière. Seul Dieu peut dire : «Avance, viens vers moi». Oui, on avance en boitant; oui, on est des aveugles, des sourds; oui, nous sommes infirmes, mais il veut qu'on avance.

Soyons des modèles pour nos frères et nos sœurs. Avançons en ayant une âme pure et rendons-nous dignes de notre âme. C'est elle qui voit notre Dieu. N'ayons pas honte de dire à notre âme : 'Fais-moi sentir, ressentir ce que tu ressens en ce moment parce que tu vois ton Dieu, mon Dieu.' Voilà ce que Dieu veut pour nous. Il veut qu'on vive sa Passion jusqu'au bout. Il va en falloir des grâces, parce que nous sommes appelés à vivre la Grande Purification de la chair.

Partout où Jésus m'envoie, il parle de la purification de la chair. Voilà pourquoi il a choisi l'être que je suis, voilà pourquoi il a choisi Nicole, voilà pourquoi il vous a choisis, afin qu'on puisse accepter de nous regarder avant qu'arrive la Grande Purification. Nous aurons besoin de grâces, parce que nous aurons à nous regarder, qu'on le veuille ou qu'on ne le veuille pas, mais avec les grâces, nous nous accomplirons. Amen.

Q. C'est quoi la chose que je pourrais faire qui ferait le plus plaisir à Dieu?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dire oui, me voici! À tous les jours : "Me voici. C'est mon oui. Je ne veux plus vivre dans ma volonté humaine, mais dans la Divine Volonté. Montre-moi". Et il va écouter. Lentement, le Seigneur va nous donner ce qu'il nous faut.

Depuis 2001, le Seigneur nous enseigne. Nous sommes à l'école de l'Amour. Il nous enseigne directement dans notre cœur. Aujourd'hui, ce soir, ce n'est pas pour notre tête, c'est pour notre intérieur ce que nous recevons. Croyez-vous que vous pouvez, comme Nicole et moi, tout retenir ce qui s'est passé depuis plus de deux heures? Notre intelligence peut prendre cinq, dix minutes, puis encore… Mais notre intérieur, notre intérieur se laisse nourrir et le Saint-Esprit, lui, il va faire rejaillir ça de nous.

Les quatre volumes que vous voyez en arrière, c'est Jésus lui-même qui les a écrits, fait écrire. Chaque mot était dicté par la voix intérieure. Tout a été écrit et respecté. Je n'ai pas d'instruction; bien, j'ai été à l'école – neuvième générale, là – juste pour passer pour être coiffeuse. Alors, lorsque j'ai entendu la voix, je lui ai dit au Seigneur : "Seigneur, tu t'es trompé. Donne-moi un marteau, mais pas un crayon". Parce qu'en 2001, j'étais dans la rénovation avec mon mari parce qu'il avait perdu son emploi lui aussi; alors, on se débrouillait comme on pouvait. Et voilà que le Seigneur vient me parler à l'intérieur. Mars 2001, mon mari a été appelé par Dieu. Alors la voix parlait en moi et elle me demandait toujours d'écrire à tous les jours. Quand elle ne me demandait pas d'écrire, c'était des 'je t'aime'; tous les instants : «Abandonne-toi, je te donne des grâces».

Le Seigneur me parle continuellement. Il disait : «Je rejoins tous mes enfants». Mais j'étais toute seule à la maison; là, j'me disais : 'Comment il peut rejoindre ses enfants, lui, alors que je suis tout seule à l'écouter?' C'était : «Je t'aime» et «abandonne-toi». C'est avec les rencontres que nous avons que j'ai pu comprendre la purification de la chair. Il a écrit et il a rassemblé pour parler de ce qu'il avait écrit. Comme ce soir, j'ai entendu ce que je n'avais jamais entendu encore dans certaines choses. Il ne m'instruit pas plus que vous. Il rassemble et c'est là qu'il parle.

Lorsqu'hier, il y a le prêtre qui a demandé une question : qu'est-ce que c'était l'illumination des consciences et la purification de la chair, oh! j'avais… le Seigneur m'en parle pas de l'illumination des consciences, du moins pas comme on a entendu la réponse hier. Ce qu'il nous apprend, il vous l'apprend, et c'est important pour ce qui s'en vient. Nous voulons vivre avec nos enfants, dans la paix, alors allons piger dans ce qui est la nourriture de Dieu. C'est la seule place que nous aurons des réponses. Il nous parle de son Évangile, il nous parle de l'Ancien Testament, et c'est d'une beauté! À cause de notre chair, on était dans la noirceur. Plus la chair se laisse purifier et plus on commence à voir la lumière.

Il y a des témoignages de personnes qui, depuis près de 2001, 2002, 2003, allez jusqu'à aujourd'hui, qui disent : 'Bien, je comprends maintenant certaines choses que je ne comprenais pas'. On peut vivre pendant sept mille ans et ne pas comprendre la Parole de Dieu. On peut vivre une journée avec le Saint-Esprit, en le Saint-Esprit, pour Dieu, et comprendre tout l'Évangile. C'est Dieu qui inspire et ce n'est pas la volonté humaine. Il a dit : «De la Genèse à l'Apocalypse, c'est votre vie». Comment on peut comprendre ça? Eh bien, il nous l'enseigne. C'est ce que nous entendons.

Voilà pourquoi il prend des personnes comme vous. Il vous demande le oui, le oui à l'Amour, et votre cœur s'ouvre comme un livre, et là, nous entendons, et là, nous enregistrons. Et tout cela se met sur écrit et c'est Jésus lui-même qui a choisi les personnes. Pour ne pas qu'un seul mot soit oublié, on enregistre et c'est d'autres personnes qui transcrivent et ça peut passer à trois, quatre autres personnes avant que cela soit sûr que c'est bien les bons mots qu'il y a sur l'enregistrement. En ce moment, nous avons imprimé 13 petits cahiers, comme Jésus les nomme, de 250 pages chacun et plus, et ça, ça s'arrête en 2008. C'est une nourriture. Nous avons une personne nommée Giovanna qui, elle, traduit les écrits en anglais. Là, lorsque nous allons revenir, certains petits cahiers vont s'imprimer en anglais.

Et voilà ce que Dieu veut pour nous, c'est ce qu'il met dans notre cœur : «Aidez vos frères et vos sœurs, là vous serez aidés pour vous-mêmes». Le oui est l'amour, l'abandon : "Me voici, fais ce que tu veux de moi". À qui irions-nous sinon à Dieu? Croyez-vous que cette phrase, c'était seulement pour les apôtres? C'est aussi pour nous. Amen.