Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Verner, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2004-05-16 - A.M.

 

Jésus : Dieu est en présence de l’amour; vous êtes amour, vous êtes les choisis de mon Père.

Enfants de ma joie, réjouissez-vous, car Dieu vous parle en chacun de vous : tout est en vous!

C’est à l’intérieur de vous que je suis en vous, mes enfants; vous vivez que par votre intérieur.

Lorsque vous regardez à l’extérieur de vous, vous voyez un monde qui s’agite, un monde qui cherche, un monde qui veut se découvrir amour.

Il n’y a que l’Amour qui peut leur faire découvrir le bonheur sur la terre :

je suis l’Amour, je suis la Vie, je suis le Bonheur.

Entrez en vous, mes enfants, accueillez ces grâces : ces grâces de joie et de paix que Dieu veut vous accorder.

Laissez venir à vous ce que Dieu, mon Père, veut vous donner.

Ces grâces vont vous faire découvrir combien vous êtes aimés de Dieu, combien Dieu connaît votre intérieur!

Il y a parmi vous des enfants qui souffrent;

ils souffrent parce qu’ils se sont mal conduits dans leur passé;

ils souffrent parce qu’ils n’ont pu découvrir combien Dieu les aime malgré leurs défauts:

ces enfants sont portés à se juger sévèrement;

ils sont portés à se dire indignes d’être en présence même de l’Amour en eux.

Je me suis donné par amour pour chacun de vous, je connais tous vos défauts;

tous ces défauts ont été en moi avant que, vous, vous les connaissiez, parce que ma Passion a été et sera jusqu’au dernier péché.

Enfants de ma joie, Dieu veut vous faire découvrir votre vraie valeur

face à ce que mon Père attend de vous.

Ne regardez pas votre passé comme quelque chose qui vous appartient, cela n’appartient pas à votre vie présente :

vous vivez en ce moment même en présence de Dieu : je suis la Présence.

La vie est un mouvement qui se fait à l’instant où vous le vivez; ce qui s’est passé hier, c'est ce qui s’est passé les autres journées que vous avez vécues, cela n’est plus!

Cessez de vivre avec des ombrages; regardez en avant, la lumière est en avant.

Lorsque vous regardez en arrière, tout ce que vous voyez, c’est l’ombre de votre vie; l’ombre de votre vie n’est plus en votre présence : c’est du passé.

Vivez avec votre présent, vivez en étant sûrs que Dieu vous fait avancer dans votre vie.

Ce qui est mort ne vous appartient plus, il appartient à la mort.

Vous, dans votre présent, vous devez vivre, vous devez vous reconnaître enfants de Dieu.

Si vous avez commis des péchés, c’est au présent que vous devez vivre, en demandant pardon et en croyant que Dieu veut vous envelopper de sa miséricorde.

Je suis la Miséricorde, je veux vous donner de l’amour : l’amour est vivant, l’amour fait avancer.

Lorsque des enfants s’aperçoivent qu’ils ont fait des péchés, il faut qu’ils aillent vers mes prêtres pour obtenir la grâce sanctifiante :

la grâce sanctifiante est vivante, elle redonne à l’âme sa beauté;

et lorsque l’âme reçoit la grâce, elle est reconnaissante parce qu’elle reconnaît l’amour de Dieu;

et l’âme nourrit votre corps des grâces qu’elle a reçues de son Époux.

Croyez que Dieu vous comble!

Si votre âme, elle, est devant son Dieu, alors vous aussi êtes devant moi : l’âme voit son Dieu;

vous, avec votre vie extérieure, vous ne voyez pas Dieu, mais vous pouvez sentir sa présence;

vous pouvez reconnaître l’amour qu’il a pour vous, car lorsque vous acceptez la grâce sanctifiante, vous ressentez la paix : la paix est de Dieu, elle ne vient pas de vous.

Si vous avez le besoin d’aller faire plaisir à quelqu’un, c’est que votre paix, en vous, vous fait avancer vers la personne à qui vous voulez donner du bien : cela ne vient pas de vous, cela vient de moi.

Ce que vous consentez, c’est donner votre oui pour recevoir la grâce sanctifiante, et moi je vous fais avancer vers le bonheur;

le bonheur est en vous;

mais si, mes enfants, vous regardez le passé : vous regardez une ombre, l’ombre de ce que vous avez été avant la grâce sanctifiante.

Pourquoi regarder en arrière? Pourquoi revenir vers ce qui est déjà passé?

Soyez dans la joie!

Dieu vous a fait connaître que vous étiez en état de péché;

Dieu vous a mis devant votre vie afin que vous puissiez accepter ma miséricorde, afin que vous acceptiez la joie de la grâce sanctifiante par le sacrement de la Pénitence.

Je veux tout vous donner; je veux vous prendre dans le mouvement vivant de la Vie : je suis la Présence; soyez vous aussi vivants en étant présents à l’instant même, là, maintenant, où vous entendez ma voix, c'est là votre place.

Ce qui s’est passé à votre lever est déjà terminé!

Ce que vous avez dit tantôt, en demandant des grâces à ma Mère par la prière, est déjà entré en vous.

Vous vivez dans les grâces, dans les grâces que vous avez demandées à Marie, qu’elle a obtenues pour vous; soyez réalistes!

La réalité est ce que vous êtes à l’instant où vous vivez.

Lorsqu’on accepte d’être vivant, on accepte la joie, la joie de se sentir en présence de votre vie :

votre vie est nourrie de ma Vie, c’est moi qui vous tiens en vie;

vous ne pourriez respirer sans moi;

vous ne pourriez regarder sans moi;

et vous ne pourriez réaliser que vous êtes vivants sans moi.

Ce sont mes grâces qui vous font vivre, qui vous font penser; alors, lorsque vous pensez à votre passé, vous vous servez de ma Vie pour revenir en arrière, mes enfants.

Je suis l’Amour, je ne suis pas une ombre : l’ombre est quelque chose qui est du passé, moi, je suis la Vie;

je suis la Lumière, je ne suis pas ténèbres : lorsque vous allez en arrière, j’attends, moi, à l’intérieur de vous, que vous reveniez vers moi;

je suis la Vie, je ne suis pas la mort : j’ai apporté tous vos péchés à la mort afin que vous soyez libérés; j’ai laissé couler mon Précieux Sang sur vous, afin que vous soyez dans la purification, afin que vous soyez vivants :

alors ne retournez pas en arrière; acceptez que je vous conduise vers la lumière, acceptez d’être vivants avec moi dans votre vie qui est ma Vie : voilà ce que je veux vous faire découvrir.

Lorsque des enfants lisent les journaux : les journaux, mes enfants, vous relatent ce qui s’est passé hier, ce qui s’est passé dans un temps qui était du moment où des enfants l’ont vécu, et ils l'on l'écrit et vous, vous lisez cela;

mais lorsque vous lisez cela, ce n’est pas dans le même temps qu’ils l’ont écrit parce que vous, vous lisez ce qui est accompli : alors, vous lisez quelque chose qui est mort.

Lorsqu’on parle de guerre et que vous lisez ce qui se passe, vous lisez une action déjà passée, et vous prenez votre vie et vous la déposez dans cet instant passé :

        vous acceptez de vivre avec la mort,

        vous acceptez un moment de ténèbres dans votre vie de lumière.

Enfants d’amour, je vous demande d’être présents : donnez à Dieu ce qui est déjà passé, car cela ne vous appartient plus;

mais donnez les enfants qui vivent au présent dans la guerre : là est votre place; inutile de savoir ce qui s’est passé.

Vous savez très bien que là où il y a les ténèbres, il y a la mort!

Tant, mes enfants, que vous allez vivre avec les ténèbres, il y aura la mort.

Cela veut dire, mes enfants, que vous qui êtes dans la lumière savez que:

dans ce monde, il y a les ténèbres;

dans ce monde, on parle de mort;

dans ce monde, on relate ce qui est déjà passé.

Pourquoi aller regarder ce qui est mort? Donnez cela à Dieu.

En donnant à Dieu ces enfants qui vivent avec les ténèbres : eux reçoivent des grâces de vie afin qu’ils puissent voir la lumière, afin qu’ils sortent des ténèbres.

Vous qui savez que vous êtes vivants en moi, Jésus, demeurez dans la lumière.

Pourquoi aller visiter les ténèbres? Pour vous montrer que vous vivez!

Je veux vous faire comprendre, mes enfants, que le présent est à l’instant où vous vivez, mais lorsque vous allez lire le passé, vous consentez à mélanger les ténèbres avec votre vie.

Lorsque vous lisez cela, croyez-vous que moi, qui suis en vous, je vous donne des grâces de paix, de lumière, de joie?

C’est vous-mêmes qui consentez à interrompre mes grâces pour aller dans les ténèbres, alors j’attends que vous reveniez à la lumière en ma Présence.

Lorsque vous revenez, je vous donne des grâces qui vous font réaliser que vous êtes vivants et lorsque vous acceptez d’être en ma Présence : les grâces resurgissent en vous.

Je vous parle ainsi pour vous faire comprendre votre purification.

Je vous parle ainsi pour que vous puissiez accepter votre purification.

Il n’est pas facile pour vous qui avez pris des habitudes!

Depuis tant et tant d’années, vous avez l’habitude de vous lever le matin et d’aller chercher votre journal ou de le prendre à votre porte pour le lire :

vous avez pris l’habitude de retourner en arrière et de lire ce qui s’est passé.

Comprenez que lorsque vous lisez ce qui s’est passé hier, vous entrez dans les ténèbres.

Cela va prendre un temps dans votre vie afin que vous puissiez perdre ces manies.

Demandez cela lorsque vous êtes en ma Présence : demandez la grâce d’être toujours au présent et de vous enlever les habitudes d’aller vers le passé.

Si vous lisez ce qui est passé, si vous écoutez les nouvelles à la télévision, comment voulez-vous accepter que vous êtes pardonnés d’un péché que vous avez commis?

Puisque vous faites un mouvement en arrière avec la télévision et les journaux, vous êtes portés aussi à faire la même chose pour votre vie passée :

vous remettez devant vous ce que vous avez déjà commis et vous le revivez : vous consentez à mettre une ombre dans votre vie présente.

Combien d’enfants vont à la confession et ils repensent à leurs péchés même si le prêtre a pardonné?

Le Prêtre, c’est moi; je vous ai pardonné, mais vous repensez à votre péché.

Vous remettez des ombres dans votre vie parce que vous avez ces manies de toujours parler du passé, ou de le lire, ou de le revivre par la télévision : vous n’avez pas appris à être présents.

C’est la même chose pour votre conversation : vous parlez de quelqu’un et pourtant, ce que vous dites relate une action qui s’est déjà passée et c’est une personne autre que vous qui l’a faite : vous prenez l’ombre d’un autre et vous la mettez au présent dans votre vie.

Voyez-vous, vous êtes des enfants de la Lumière, mais vous êtes mélangés!

Comment voulez-vous que mon Église ne soit pas mélangée?

Comment voulez-vous que vos familles ne soient pas mélangées?

Comment voulez-vous que ce monde ne soit pas tourmenté?

Il faut commencer par vous-mêmes, il faut vivre au présent.

Je veux vous faire comprendre votre place en vous, en ma Présence, en la Vie.

Vous êtes à moi, vous appartenez à mon Père. Mon Père est l’Amour, je suis l’Amour.

Je veux vous apporter l’amour, le bonheur, à l’instant où vous vivez; voilà pourquoi je vous parle, mes enfants, pour vous instruire : vous êtes à l’école de l’amour.

Je veux vous donner tout ce qui est nécessaire pour passer votre purification; ainsi, lorsque vous serez en vous, lorsque vous verrez votre vie devant vous, vous ne souffrirez pas à cause des ombres :

car vous aurez appris à vivre au présent,

vous aurez appris à accueillir mon amour au présent,

vous n’aurez plus peur des péchés que vous avez commis ou des péchés que les autres vous ont fait subir,

tout ne sera qu’amour et que pardon pour vous et pour ceux que vous aimez.

Je vais vous donner cela dans un autre temps, mes enfants. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu nous dit que nous sommes avec lui pour un temps d’amour, un temps de grâces, un temps de révélations.

Toute révélation : c’est quelque chose qui ne nous est pas connu.

Il nous révèle ce qu’il attend de nous pour nous préparer à entrer dans la Grande Purification, mais Dieu, dans sa bonté, est en train de nous faire vivre notre purification : il veut qu’on la vive au présent.

Il n’est pas toujours évident de suivre le Seigneur lorsqu’il nous parle de télévision : on a été habitué très jeunes à regarder la télévision.

Pour certains d’entre nous, on avait peut-être quoi : une dizaine d’années, peut-être, d’autres beaucoup plus vieux!

La télévision n’existait pas avant, c'est peut-être dans les années quarante que ça a commencé la télévision, nous au Canada du moins!

Voyez-vous qu’on en a pris des habitudes d’aller vers la télévision lorsqu’on s’ennuie?

La télévision est un moyen de nous faire sortir de nous-mêmes pour entrer dans quelque chose : une boîte noire.

Lorsqu’on entend parler d’une boîte noire, ça nous semble négatif parce que la noirceur n’est pas compatible avec la lumière.

Il faut réaliser ce que nous avons consenti à vivre.

Lorsque nous regardons cette boîte, cette boîte qui est noire, nous consentons à arrêter notre vie de lumière pour s’éteindre pour un moment : pour regarder cette boîte noire.

Oh! elle nous fait voir des lumières extérieures de notre vie :

        elle nous montre des images extérieures de notre vie,

        elle nous fait entendre des sons extérieurs de notre vie.

Parce que lorsqu’on s’installe et qu’on ouvre cette boîte noire et qu’elle nous montre des images : ces images-là ne nous appartiennent pas, elles appartiennent à un monde qui a voulu nous faire vivre une vie qui ne nous appartient pas.

Notre vie est à l’intérieur de nous, elle n’est pas à l’extérieur de nous.

Lorsqu’on regarde quelque chose qui est dehors et qu’on consent à le laisser entrer en nous : on consent à vivre une vie qui ne nous appartient pas.

Lorsque la télévision a été inventée, cela venait d’un mouvement contre la vie.

Est-ce que Dieu aurait pu faire cela?

On dit : "Tout ce qui est bon, Dieu le veut!"

L’homme a reçu l’intelligence pour créer;

l’homme a reçu l’intelligence pour partager, pour donner;

mais l’homme s’est servi de l’intelligence contre lui-même :

lorsqu’on invente des armes, c'est contre la vie;

lorsqu’on invente des produits chimiques, c’est contre la vie;

et lorsqu’on invente une boîte noire pour qu’on puisse quitter notre vie et entrer dans la vie d’un autre : c’est contre la vie.

Nous n’avons pas réalisé ce que nous avons accepté de vivre.

À chaque fois que nous regardons la télévision et que nous consentons à vivre la vie de ces personnages inventés ou des personnes qui sont déjà mortes, nous quittons notre vie présente et nous mourons en eux :

lorsqu’une personne est à la télévision, qu’on la voit et qu'elle parle alors qu'elle est déjà morte, nous revivons son passé.

Un documentaire, c’est bien, cela nous montre de belles choses : une vie sous la mer avec des poissons;

on est content de s'instruire, on aime ces images qui rentrent en nous;

mais ces images nous apportent quelque chose qui ne nous appartient pas : elles appartiennent à Dieu, ces images;

nous sommes portés à vouloir connaître, à vouloir connaître ce qui vient de l’homme;

Dieu a créé, Dieu a mis les poissons dans l’eau, Dieu a créé la vie dans l’eau : cela appartient à la nature.

Nous, est-ce que cela va nous donner une meilleure vie spirituelle?

Est-ce que cela va développer les grâces en nous pour qu’on puisse être heureux?

La vie, c’est quelque chose qui bouge, c’est quelque chose qui donne de l’amour,

et on reçoit de l’amour.

Mais lorsqu’on regarde un documentaire, ce qu’on fait : on nourrit notre intelligence, mais à cet instant, notre intelligence, elle, est dans la volonté humaine et non pas dans la vie spirituelle.

Si Dieu a créé la nature, et si Dieu a créé la vie dans les eaux, c’est pour nous, pour nous nourrir, pour être dans le mouvement de Dieu : Dieu a tout fait par amour pour nous.

Si Dieu avait voulu que nous puissions, nous, vivre dans l’eau : on aurait découvert toutes ces choses-là parce que cela aurait été bon pour nous;

mais lorsqu’on se sert de ces appareils-là pour s’instruire : on instruit notre orgueil, on instruit notre connaissance : c’est un couteau à deux tranchants :

on peut se servir de ce que nous avons connu, par la télévision, pour donner quelque chose à quelqu’un, comme des informations :

on instruit afin qu’il puisse apprendre puis, nous, on vient d’apprendre quelque chose; mais, est-ce que cela nous a fait avancer vers quelque chose qui est bon pour notre âme?

Tout ce qu’on a réussi à faire, c’est d’instruire un enfant, un frère, une sœur, sur ce que nous, nous connaissions par rapport à la télévision :

"Regarde, je vais te montrer quelque chose.

Regarde, je vais te parler de la baleine.

Regarde, je vais te dire que les requins, ce sont des poissons qui sont dangereux, d’autres non, ils peuvent attaquer, d’autres non.

Regarde, je vais te montrer quelque chose…"

L’autre qui écoute apprend de la volonté humaine quelque chose, mais cela ne nourrira pas son âme, et la personne qui parle va nourrir son orgueil, va nourrir ses connaissances avec sa volonté humaine, pas avec la Volonté de Dieu : la vie en Dieu.

C’est la même chose pour nous; nous, on se nourrit de connaissances pour se gonfler d’orgueil.

Dieu va nous faire connaître toutes ces choses dans la Divine Volonté.

Lorsque nous allons vivre en enfants de Dieu, nous allons connaître tout ce que Dieu a créé pour nous : là sera le moment de connaître ce qu’il a fait pour nous; nous allons le vivre, nous allons voir ces choses.

Dieu a dit : «Lorsque mes enfants vivront comme moi je l’ai voulu avant le péché, ils seront dans un bonheur, ils seront dans un mouvement d’amour. Tout leur sera connu.»

Ça nous sera connu, ça ne nourrira pas notre orgueil, pourquoi?

Parce que nous allons découvrir le mouvement de l’amour de Dieu pour nous;

nous n’aurons pas besoin d’instruire personne parce que tout le monde va être instruit par Dieu;

nous ne serons pas des professeurs pour les autres, démontrant qu'eux ne savent pas ce que nous, nous savons : nous allons être tous égaux.

C’est ce que Dieu veut nous faire comprendre.

Nous avons accepté de nourrir notre orgueil; notre savoir a instruit les autres de ce qu’ils ne connaissaient pas;

mais l’enfant, lui, qui n’a pas de mémoire, l’enfant, lui, qui n’est pas capable de retenir tout ça, tout ce qu’il dit : «Mais, tu en sais des choses, toi! Tu es capable de tout retenir ça!»

Tout ce que lui, il va récolter, c’est un complexe d’infériorité : «Moi, je ne suis pas capable de retenir tout ça. Moi, c’est drôle, je ne m’intéresse pas à ça. Comment ça se fait que je ne m’intéresse pas à ça, puis toi, tu t’intéresses à ça?» Il va se dénigrer.

Tout ça a été dans les ruses de Satan.

L’intelligence de Satan est tellement subtile!

Tout ce qui est de ténèbres est dans son mouvement de ténèbres parce qu’il a déjà été un ange de lumière; maintenant, c’est un ange de ténèbres, mais son intelligence est incalculable.

Il n’y a que le Saint-Esprit qui peut nous faire comprendre ces choses.

Ce que vous venez d’entendre, je viens de l’entendre en même temps que vous.

C’est le Saint-Esprit qui nous fait comprendre.

Oh! c’est vrai ça que nous l’avions pas compris; nous avons entré dans le jeu de Satan sans s’en rendre compte et nous faisons ça; même, nous avons consenti à le faire.

Nous vivons avec des ombres, et lorsqu’on vit avec des ombres, on a de la difficulté à être heureux.

Le bonheur, c’est d’être dans la lumière, dans la vie, mais lorsqu’on consent à vivre dans les ombres, on ne peut pas être heureux.

Alors, c’est pour ça que lorsqu’on ferme la télévision, avez-vous remarqué qu’on tombe dans quelque chose d’apathique? Il  n'y a rien qui nous stimule.

Pourquoi l'on s’ennuie?

Pourquoi l'on cherche tout le temps à faire quelque chose?

Si on ne regarde pas la télévision : il faut jouer aux cartes, il faut aller faire de l’exercice, il faut aller magasiner, il faut décorer :

il faut faire de quoi, sinon je m’ennuie; il faut que je fasse de quoi : comme je ne trouve rien, je rallume la télévision!

Parce qu'on n’a pas appris à vivre, on n’a pas apprécié la lumière qui est en nous.

Alors, si on n’apprécie pas qui on est, comment voulez-vous qu’on apprécie nos frères et nos sœurs qui sont à côté de nous?

On n’est pas capable parce que si on n’est pas capables nous-mêmes d’être heureux dans ce qu’on est, on ne peut pas donner.

On donne ce qu’on est, alors ce qu’on peut donner ce sont des ombres :

        on n’a pas découvert comment aimer notre époux ou notre épouse;

        on n’a pas découvert comment aimer nos enfants;

        on n’a pas découvert comment aimer nos parents.

Pourquoi? Parce qu’on ne s’est même pas découvert soi-même.

On n’a pas découvert pourquoi on a tendance à faire telle ou telle chose, pourquoi il faut s’étourdir tout le temps.

Oh! vous direz : "Mais la télévision est apparue seulement en 1951. Comment ça se fait que l’homme n’a jamais été heureux ni la femme, avant? Il y a eu des divorces avant; il y a eu des enfants qui se sont retrouvés orphelins parce qu'on n'a pas voulu les garder et on les a envoyés à l’orphelinat. Mais pourquoi toutes ces souffrances-là? Pourquoi il y a eu des guerres? "

C'est parce qu’on vit dans le passé : on n’a pas oublié, on ne vit pas dans le présent.

Aussitôt qu’on a une souffrance, on accuse Dieu : on accuse Dieu d’avoir mis les souffrances sur la terre, mais les souffrances n’ont pas été mises par Dieu, c’est à cause du passé.

Avons-nous pardonné à nos parents Adam et Ève?

Avons-nous accepté la tache originelle comme étant effacée de notre vie?

Avons-nous pardonné à Caïn qui a tué son frère?

Avons-nous pardonné, toutes les fois que nous avons causé de la peine à notre intérieur, à nous-mêmes?

Nous sommes-nous pardonnés?

Parce que lorsqu'on accepte de se voir en état de pécheurs, il faut aussi accepter la miséricorde en tant qu’enfants de Dieu : ça, ça va ensemble!

On ne peut pas vivre en Jésus, si on n’accepte pas la Vie qu’il a consentie à nous donner : c’est sa Vie à lui.

Il a pris tous les péchés, depuis Adam et Ève jusqu’au dernier qui va se faire, et il les a apportés à la mort;

mais nous, nous vivons avec ce que nous avons été à l’intérieur de nous et nous vivons aussi avec nos frères et nos sœurs qui ont commis des péchés,

mais bien souvent nous n’acceptons pas qui nous sommes dans nos faiblesses.

On a souvent commis des péchés et on va encore en commettre des péchés : comme parler contre un, parler contre l’autre :

il faut accepter d’être faibles, mais il faut accepter la lumière aussi;

il faut se pardonner sans cesse, puis il faut pardonner aux autres sans cesse.

Vivre le présent et ne plus vivre dans le passé.

Si votre garçon, hier au soir, n’est pas rentré à l’heure convenable ou si votre fille a découché, c’est aujourd’hui qu’il faut que vous l'aimiez;

c’est aujourd’hui qu’il faut que vous lui disiez : "je t’aime".

"Ce qu’elle a commis ou ce qu’il a commis, je te le donne, Seigneur; tu l’as déjà porté";  alors, pardonnez et vivez au présent.

Ce n’est pas facile, de tout offrir ces mouvements-là : pardonner parce que notre enfant nous a dit qu’elle a fait avorter son enfant?

Pardonnons et laissons en arrière ce qui s’est passé parce que Dieu l’a déjà purifié; à nous de le donner à Dieu sur l’autel ;

lorsque nous allons aller à la messe comme ce matin : au moment de l’offertoire, il faut tout mettre ça : vivons notre présent;

donnons nos joies, donnons aussi nos souffrances et vivons notre présent parce que Jésus va tout présenter au Père, et acceptons toutes les grâces qu’il va déposer en nous;

et si on a des pardons à faire : allons à la confesse, pas dans un an, allons-y le plus tôt possible parce que ce sont des grâces qui nous appartiennent, Dieu les a gagnées pour nous;

alors, il faut les vivre, et demeurons dans la joie.

Oh! c’est sûr qu’on ne deviendra pas parfaits parce qu’on va sortir de la messe! mais on aura appris quelque chose :

un petit pas s’est fait.

Et demandons la grâce de nous en souvenir pour qu’on puisse en faire d’autres; ainsi, nous allons avoir la force d’éteindre notre télévision;

par nous-mêmes, ça va être difficile, ce sont les grâces qui vont nous être accordées pour ne plus vivre dans ce passé.

Lorsqu’on regarde des nouvelles qui nous parlent de la guerre : on accepte de voir la discorde, on accepte de voir l’œuvre de Satan parce que la guerre vient de Satan, ne vient pas de Dieu.

Quand on accepte ça, on s’en nourrit et quelquefois on s’en sert pour faire des conversations avec l’un, puis avec l’autre : on se sert d’ombrages, puis on les met au présent.

Mais c’est la même chose pour les films : on veut se distraire par des films;

aujourd’hui, les films, ce ne sont plus des films qu’on avait avant, qu’on censurait : on essayait toujours de mettre quelque chose de bon et, aujourd’hui, quasiment tout est mauvais!

Satan, lui, il nous a fait luire quelque chose : comme une image attrayante, une image qui était accompagnée de bonnes actions, oups! il infiltrait une mauvaise action, un ombrage à travers ça, parce qu’il voulait nous attirer; il nous mettait de la musique aussi pour qu'on se relaxe dans tout ça.

Regardez (n'oubliez pas que tout ceci est mouvement de la Divine Volonté); retournons dans les premières émissions : on avait des émissions qui étaient beaucoup plus calmes, puis ils passaient toujours des messages à travers ça :

aujourd’hui, ce qu'il y a devant nous n'est que de la violence, que de l’infidélité, que de l’impureté;

on parle contre l’Église, puis on rit de l’humour qu’ils ont : ce sont des flèches contre nous qu’ils nous lancent et nous en rions.

On est tout perdu, pourquoi? Parce que nous rentrons dans une vie qui ne nous appartient pas et la laissons entrer à l’intérieur de nous, et au moment où la télévision est fermée, on se cherche.

Entre nous, nous nous faisons mal, nous souffrons.

On est porté à être dépressif, à être coléreux, envieux, à être de mauvaise humeur : ça nous prend un café le matin sinon "parle-moi pas, c’est comme ça";

c’est tout simplement parce qu'il y a quelque chose qui ne nous appartient pas et qui est à l’intérieur de nous, mais Dieu veut nous arracher ça de nous, il veut nous faire vivre : et c’est notre purification.

Oh! elle ne sera pas facile notre purification!

Mais on va l’accepter parce que c’est Dieu qui est en train de nous donner des grâces pour qu’on puisse avancer tranquillement en nous donnant ces petites lumières-là :

"Merci, Seigneur! Je suis prêt à faire le chemin, puis à accueillir ces petites lumières-là, puis les déposer en moi. Puis, lorsque ces lumières-là chasseront un ombrage, il va venir un temps où je vais voir plus de lumière à l’intérieur de moi, et je vais être moins porté à parler contre un, contre l’autre, à me pardonner pour que je puisse pardonner aux autres."

Comment voulez-vous pardonner aux autres, si on ne se pardonne pas à soi-même?

Comment voulez-vous aimer les autres si on n’est pas capable de s‘aimer soi-même?

Comment voulez-vous regarder tous les couples qui se séparent aujourd’hui sans se voir à l’intérieur d’eux?

Parce qu’ils nous montrent ce que nous aussi, nous avons accepté de vivre : nous voulons vivre une autre vie à l’intérieur de nous.

Et eux qui se séparent veulent aussi vivre une vie qui ne leur appartient pas, parce que lorsqu’on quitte son mari pour aller en prendre un autre, c’est prendre quelque chose qui n’est pas à lui ou elle

Le mariage est une unité.

Nous venons d’accepter de vivre deux en un : c’est l’union de deux êtres pour n’en faire qu’un en le Christ; mais lorsque, à cause de tout ce que nous vivons, il y a désunion :

une vie quitte l'autre pour aller en prendre une autre : on prend la vie d’un autre, et notre présent nous quitte et nous vivons avec des ombrages;

mais eux, qui ont quitté tout cela, n'ont pas la connaissance que nous, nous commençons à avoir; nous allons devoir les supporter eux autres aussi.

Mais avant, il faut comprendre ce que nous avons à faire : voilà pourquoi Jésus, Dieu le Père, Dieu le Saint-Esprit, Maman Marie, réunissent des enfants de la Lumière pour qu’on puisse comprendre.

Comment voulez-vous entrer dans la Grande Purification si on ne sait même pas ce qui va se passer?

Nous avons un chemin à faire.

Plusieurs personnes ont attendu le retour du Christ en les cœurs.

Plusieurs personnes ont attendu les trois jours de noirceur.

En l’an 2000, tout le monde pensait que ça y était : "C’est le retour du Christ, c’est arrivé".

C’est vrai que c’est arrivé, pour nous, pour notre préparation au grand événement de ce que nous allons vivre, et cela, la Sainte Vierge l’a toujours dit : elle l’a annoncé depuis plusieurs années.

Vous souvenez-vous? Qui a lu la Salette? Ça, c’était tout un message; elle nous disait tout ce qu’on était pour vivre.

Aujourd’hui, c’est déjà commencé, et plus encore lorsque la Sainte Vierge a parlé à Don Gobbi. Je ne connais pas ce qui s’est passé, mais je sais que la Sainte Vierge a parlé à Don Gobbi.

Lorsque Jésus a parlé à Vassula, ça fait plusieurs, plusieurs, plusieurs années, et Dieu a parlé dans le cœur de plusieurs, plusieurs enfants pour nous préparer à ce que nous allions vivre : la Grande Purification.

Le mouvement est commencé, nous sommes en plein dedans.

Nous sommes dans la tempête et le bateau se fait très basculer d’un bout à l’autre, mais nous sommes à l’intérieur, et ceux qui sont à l’intérieur doivent soutenir ceux qui sont sortis du bateau pour les rentrer :

lorsque cela sera terminé, lorsque la tempête sera apaisée, là nous verrons Dieu en nous.

Dieu dit : «Je suis à l’intérieur de vous, n'ayez pas peur : vous manquez de foi. »

Lorsque l’on vous parle que cela est arrivé, vous criez : "Mais non, c’est long! Ce n’est pas encore le temps! Quand est-ce qu'il s’en vient?"

Mais c’est faux, parce que c’est arrivé; on n’a qu’à regarder autour de nous et tous les signes sont là.

Nous vivons la grande apostasie, nous vivons l’anti-christ : on ne croit plus!

Le faux christ s’est installé, prêt pour se faire voir.

Oh! il se laisse voir dans ces temps-ci :

        lorsqu’on prône l’avortement, l’homosexualité, n’est-ce pas parce qu’il se laisse voir? Il est là autour de nous.

        Lorsqu’on regarde la télévision, n’est-ce pas parce qu’il est rentré chez nous? Il s’est installé, puis il a pris la première place dans notre maison.

Où est installée la télévision, si ce n'est pas dans votre salon où vous allez tous vous asseoir? Il s’est installé là où nous l’avons fait entrer : chez-nous.

Maintenant, c’est notre choix : est-ce que nous allons consentir à fermer cet appareil? C’est à nous de le savoir.

C’est à nous de laisser entrer en nous les paroles de Dieu, les paroles qui nous viennent de l’Esprit Saint afin qu’on puisse prendre nous-mêmes nos choix.

Ce sont des oui ou des non qui nous amènent à la Grande Purification.

Mais c’est notre purification, et c’est à tous les jours que nous allons le faire, jusqu’au moment où il y aura, globalement, tous les enfants qui vivront la même chose que nous à l’intérieur d’eux :

là, ils devront prendre un choix et ce choix-là sera pris en un instant : oui ou non.

Mais avant d’en arriver là,

il faut qu’on prononce des oui,

il  faut apprendre à dire non aux ténèbres pour que les autres puissent aussi répondre avec l’amour : l’amour de Dieu en eux.

Alors Jésus, il dit : «Je suis avec chacun de vous, je suis en votre présence. Je veux vous accueillir en moi à la communion.»

 

Tous: Merci, Seigneur.