Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Ville Émard, (Montréal), Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-02-17- Partie1

 

Jésus : Ô Dieu d’amour, par ta toute-puissance, je vais prendre ta Volonté ici présente dans ce lieu.

Chaque instant vous ser(a) donné par la Trinité dans un temps éternel.

Petits enfants d’amour, écoutez la voix de Celui qui vit en vous; je ne viens pas pour vous bercer avec de belles paroles qui peuvent séduire votre volonté humaine, je viens vous parler avec des mots d’amour qui vien(nent) vous démontrer la voie à suivre.

Tout ce que vous êtes est un chemin pour ceux qui sont avec vous.

Vous qui croyez que je suis en vous, vous qui croyez que la voie que vous suivez est celle de Dieu, vous devenez pour ceux qui ne croient pas une voie difficile à suivre.

Des personnes autour de vous, mes enfants, ont appris à reconnaître ce qui leur plairait; elles ont été des enfants modèles.

Aujourd’hui, tout leur est permis : on s’amuse, on chante, on croit que ce qui est devant eux est la vérité et ce qu’ils ne voient pas n’est donc pas pour eux; tout semble pour eux être acquis.

On leur a parlé d’un monde d’autrefois qui avait dominé les enfants avec la religion; on a dit que des prêtres avaient abusé de leurs droits, contrôlant la vie privée des enfants.

Beaucoup d’enfants aujourd’hui rejettent les prêtres; beaucoup d'enfants, aujourd’hui, disent que l’Église est riche; beaucoup d’enfants aujourd’hui se sont éloignés à cause de ces qu'en-dira-t-on.

Lorsque des enfants parlent en prenant pour acquis que la vérité est ce qu’ils ont entendue, venant de personnes qui ont perdu la foi : ne peuvent pas voir, ne peuvent pas entendre la voix de Dieu, l’appel de Dieu.

Mes enfants, je fais appel à vous; vous qui voulez connaître la vérité, vous voulez aider les enfants d’aujourd’hui, n’est-ce pas? Vous voulez leur démontrer que ce qu’ils croient est faux? Comment vous, pouvez-vous leur démontrer que ce qu’ils croient est faux?

Il faut que votre cœur soit droit, il faut que vos pensées soient honnêtes, il faut que vos gestes soient des gestes d’amour envers vous-mêmes et envers ceux qui sont auprès de vous; il faut que vous leur démontriez que vos sentiments sont des sentiments d’amour avant de leur parler qu’ils ont tort.

Petits enfants, je vous aime. Je vais donc vous parler comme un père parle à ses enfants.

Vous qui êtes père, vous qui êtes mère, lorsque vous voyez votre enfant qui ne se conduit pas bien, vous le reprenez, alors je vais en faire autant.

Regardez, regardez ce que vous avez pensé au moment où il a fallu que vous veniez dans un endroit où il y a de la musique endiablée; au tout premier, vous avez dit : "Oh!", et après, mes enfants, vous avez dit : "Ce n’est pas un lieu convenable, va-t-il y avoir une messe, va-t-on être capable de se recueillir?" Voyez-vous, tout cela était en vous.

C’est parce que, en vous, il y a des blessures; vous ne gardez pas votre paix lorsqu'on vous parle avec des paroles qui semblent ne pas convenir à votre petit être fragile; vous vous laissez ébranler, c’est parce que vous avez perdu en vous la foi en Dieu.

Savez-vous que j’ai choisi cet endroit? Il y a plusieurs années, il n’existait pas et vous n’existiez pas dans ce monde.

Tout a été préparé par le Ciel pour vous parce que je vous aime; vous êtes des instruments d’amour pour ceux que vous aimez.

C’est le temps de la Grande Évangélisation; je viens vous parler en les cœurs, je viens rassembler le peuple de mon Père afin qu’il reconnaisse que je suis leur Dieu.

Vous êtes à moi comme les enfants qui viennent ici sont à moi.

Ne jugez pas cet endroit comme étant indigne de vous-mêmes, car lorsque vous dites cela, vous jugez ceux qui fréquentent cet endroit : ce sont vos enfants, ce sont ceux que vous portez en vous.

Voyez-vous, mes amours, vous êtes l’Église et ils sont l’Église.

Sur cette île, il y a beaucoup d’endroits comme celui-ci; il y a des endroits encore, selon votre propre langage, beaucoup moins propices à la prière.

Ce qu’ils font, mes amours, dans ces lieux, ce sont des gestes contre eux-mêmes parce que lorsque l’on vient pour se déhancher, en voulant séduire ceux qui sont autour, c’est contre la personne.

Lorsqu’on se remplit l’intérieur avec de la musique, ne sachant pas d’où elle provient, d’où elle va et ce qu’elle fera, cela est contre la personne.

Vous, mes amours, avez-vous déjà été danser? Avez-vous déjà écouté de la musique pour plaire à votre partenaire? Voyez-vous, on ne jette pas la pierre.

Cette île, mes enfants, est appelée par certains enfants "la grande Babylone" : est-ce que je vais donc tourner mon regard de cette île, est-ce que je vais donc ne pas fréquenter cette île? Vous y habitez.

Je vous aime, je viens à vous, je vous nourris de mes grâces d’amour afin que chacun de vous puissiez vous donner.

Des enfants d’amour crient vers moi, des enfants d’amour pleurent sur eux-mêmes parce qu’ils ne se savent pas amour : ce sont ceux qui fréquentent ces endroits, ce sont des enfants qui fréquentent vos enfants, ce sont des amis qui vous fréquentent.

J’ai le regard sur eux comme j’ai le regard sur vous, je leur donne des grâces comme je vous donne des grâces.

Vous qui profitez de ce que je vous donne, vous faites profiter votre intérieur des bienfaits du Ciel et eux profitent aussi de ce que le Ciel leur donne.

Ils sont encore vivants mes enfants, je les tiens vivants parce que je tiens à eux; soyez bons pour ceux qui fréquentent ces lieux.

Je suis mort sur la Croix, mes enfants, pour les plus grands pécheurs.

Qu’il soit celui qui regarde de travers son frère ou qu’il soit celui qui tue son frère et qui veut détruire la foi de son frère, pour moi il est pécheur.

Je ne mesure pas la grandeur de son péché, car tout péché apporte la souffrance, tout péché fait souffrir l’Église; vous êtes à moi comme ils sont à moi.

Alors, mes enfants, voyez-vous ce que je viens vous demander? De regarder ceux qui vivent auprès de vous avec leurs choix, avec leurs conséquences, de les aimer, car ils sont pécheurs comme vous êtes pécheurs; tant qu’il y aura une seule pensée comme vous vous avez eue, permettez-moi de vous dire que vous êtes pécheurs.

Une grande voix d’amour se prépare sur toute la surface de la terre : c’est l’appel de mon Père.

Préparez-vous, car bientôt vous verrez ce qu’il y a en vous et vous le vivrez; il n’y a pas de menace dans ma voix, mes enfants, il y a un appel à l’amour.

Vous êtes tous pareils pour mon Père; il est votre Père et vous êtes ses enfants; alors conduisez-vous bien et conduisez-vous bien envers ceux qui vous nourrissent.

La nourriture que je vous parle, mes enfants, est une nourriture spirituelle; une seule pensée contre un seul de mes prêtres est une pensée contre vous, une pensée contre vos frères et vos sœurs.

Ne regardez pas le passé, mes enfants, regardez le présent; ne regardez pas ce qu’ils ont fait en Église, alors que cela a fait souffrir les membres de l’Église, mais regardez leur présence lorsqu’ils vous nourrissent avec mon Sang, avec mon Corps.

Même le prêtre le plus infidèle est prêtre; par son sacerdoce il est moi; même s’il parle contre le pape, il est toujours moi; c’est sa volonté humaine qui est blessée et qui fait sortir des paroles contre lui-même.

Voyez-vous, mes amours, aujourd’hui on parle des prêtres, on dit qu’il y en a qui sont bons et qu’il y en a qui sont moins bons; est-ce que vous voulez dire qu’il y en a qui sont avec leur volonté humaine plus que d'autres?

Voyez-vous, petits enfants d’amour, je me mets à votre niveau, afin que vous ayez moins mal le jour où vous allez réaliser que vos paroles n’étaient pas amour pour moi : le Christ-Prêtre.

Vous êtes des enfants qui devez vous comporter devant votre vie comme étant dans l’amour.

Lorsque vous parlez, mes enfants, c’est dans votre vie que vous parlez, alors c’est de votre vie vous-mêmes qui est en mouvement.

Tout ce qui est et tout ce qui sera, sera devant vous bientôt; ne rejetez pas mes paroles, prétendant que cela ne viendra pas tout de suite, car le tout de suite, mes enfants, est devant vous.

À l’instant où vous réalisez que vous dites des paroles qui ne sont pas amour et que vous savez que cela sera devant vous : cela est devant vous dans votre purification.

Alors, faites attention à vos paroles : vos discussions doivent être des discussions fait(es) dans un esprit d’amour.

C’est le Saint-Esprit qui guide lorsque vous lui laissez la place; lorsque vous délogez l’amour, vous êtes dans un esprit contradictoire.

Laissez-moi vous expliquer cela, mes enfants, avec une histoire.

«Un jour, un tout petit enfant était à la recherche de l’étoile; il consultait à chaque jour des livres et il était toujours en train de penser à ce qu’il avait lu; il avait même pris des notes et, avec ses notes, il commença à vivre ce qu’il avait écrit.

Alors, ce qu’il avait écrit devenait pour lui des expériences; les expériences qui lui apportaient satisfaction étaient retenues et (celles) qui lui apportaient rien étaient rejetées.

Un jour, il était devant ses notes et il s’est dit : "Qu’est-ce que je vais faire pour me montrer que l’existence est devant moi?" Alors, il calculait ce qui était devant lui pour savoir si cela lui apporterait de bons résultats.

Il doutait, au tout début, de ce qu’il allait pour découvrir comme étant de bons résultats; alors, il se secoua : "Vais-je donc mettre de côté toutes ces années à chercher la vérité? Non, je vais faire ce que j’ai à faire, car mon labeur est devant moi."

Tout ce qu’il comprenait était ses notes et tout ce qui était dans l’invisible était, pour lui, rejeté; il ne vivait que pour ses notes et le résultat était toujours en rapport avec ses notes.

Alors, sa vie était une vie rangée : on ouvre un tiroir, on prend le papier, le crayon, et on écrit : voilà ma vie!

C’est ce qu’il vivait sans s’apercevoir qu’il était vivant, sans s’apercevoir qu’il avait besoin de manger, de s’habiller, de dormir et de se réveiller, pour recommencer.

Tout cela devenait pour lui secondaire; tout ce qui était en lui était le résultat de ses notes : il était obsédé par ses notes.

Un jour, il trouva, il trouva l’étoile qu’il recherchait, l’étoile qui était plus brillante que tout : sa circonférence était supérieure à la terre, elle dominait la terre, elle était avec le pouvoir de l’aimant.

Tout ce qui était devant lui devenait pour lui réel; cette étoile brillante, cette étoile supérieure à la terre avait le pouvoir de faire tourner la terre autour d’elle : tout était pour lui une vérité

Il vivait pour cela, et tout ce qui était en dehors de lui n’avait plus son importance; son intérieur en souffrait : il était seul avec lui-même; il se parlait, il se disait être capable de comprendre.

Jusqu’au jour où il s’arrêta : là où il était, il regarda vers le haut, il regarda le soleil, cette immensité, cet astre qui avait un pouvoir, et lui il était si petit; il était si petit qu’il se demandait si sa présence sur la terre valait un poids sur l’univers : il était si petit, il le réalisait.

Lui, dans un temps, vivait dans cette éternité, il était là présent; il réalisa qu’il n’était rien, absolument rien; alors, il se replia sur lui-même et il dit : "Dieu tu es là, tu es plus grand que tout; toutes ces années de recherche, ô Dieu d’amour, à découvrir ce que toi tu as créé, maintenant, me font découvrir combien tu tiens à moi. Tu es là pour moi, je suis rien, tu es le Tout."

Alors, il avait compris, il avait compris que la puissance de Dieu lui avait apporté la vie; sa vie devenait pour lui importante, parce que Dieu avait pris soin de lui pendant toutes ces années.»

Alors, voyez-vous, mes enfants, chacun de vous est ainsi; vous vous regardez un certain temps, vous analysez votre vie, vous croyez connaître toutes les réponses, et lorsque vous avez devant vous ce que vous croyez être pour vous essentiel, là vous réalisez que vous n’êtes rien, que vous êtes enfants de Dieu, protégés par Dieu parmi tous les autres; vous saisissez l’amour de Dieu pour vous avec ce que vous êtes.

Tout ce qu’il y a autour de vous, mes enfants, a une mesure selon ce que vous, vous vous reconnaissez être devant Dieu; plus vous voyez tout ce qu’il y a autour de vous comme étant quelque chose de grand en ce monde, et plus vous vous voyez petits devant Dieu; là vous réalisez l’immensité de Dieu : l’éternité.

Il faut pour cela, enfants d’amour, que vous soyez honnêtes envers vous-mêmes; il faut que vous vous regardiez avec vos paroles, vos pensées, ce que vous avez consenti à écouter, vos actions et vos sentiments, afin que vous puissiez reconnaître que vous n’êtes rien devant Dieu.

Tout ce que votre vie est doit être pour vous un livre ouvert.

Ne cherchez pas à vous cacher des mouvements, vous ne pourrez pas vous reconnaître tels que vous êtes : tout petits devant Dieu, un pécheur aimé par Dieu.

Voyez-vous, enfants d’amour, c’est ce que Dieu veut que vous saisissiez : à chaque instant vous êtes devant votre vie, votre livre ouvert.

Maintenant, prenez un petit temps de repos et fermez votre livre pour le confier à votre ange gardien qui continuera à l’écrire.