Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Winnipeg, Manitoba,

par son instrument la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-11-13 Soir

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque fois que Dieu parle, c’est comme des roses qui s’ouvrent à l’intérieur de nous; à l’intérieur de nous, il y a un jardin d’amour, et Jésus veut y faire pousser des roses.

Nous avons regardé le jardin de notre intérieur, et nous n’y avons rien trouvé : c’est parce qu’il n’y avait rien; à  cause de notre volonté humaine, nous n’avons pas pris le temps d’entrer en nous pour découvrir la beauté de notre intérieur; il faut laisser à Dieu toute la place dans notre vie afin qu’il puisse faire fleurir en nous des roses.

Les roses, c’est comme la présence de Marie dans notre vie avec nous : elle est là avec nous à chaque jour de notre vie; la rose, c’est la présence de Marie, elle nous conduit au Cœur même de Jésus.

Jésus veut nous faire comprendre combien nous avons à nous laisser prendre par Marie ; Marie veut nous prendre la main, nous conduire là où nous avons de la difficulté à aller

Nous avons tant de fois fait à notre tête : regardant ce que nous nous voulions regarder, cherchant à faire ce qui nous plaisait, ne réalisant pas que la Mère de Dieu était avec nous : elle a été pour nous un refuge d’amour.

Sachons qu’à chaque fois que nous faisions une mauvaise action, notre Mère chérie nous couvrait de sa protection; elle déployait son manteau pour nous couvrir contre les attaques de Satan; elle savait que nous étions faibles; elle savait qu’avec ce que nous sommes nous ne pouvions pas résister à ces attaques; la Vierge Marie commandait à ses anges de nous entourer pour nous protéger contre ceux qui ont suivi Satan.

Satan est le maître de ces mauvais anges; ils attaquent les enfants de Dieu.

En ces temps de ténèbres, les anges déchus sont tout autour de nous; ils sont déchaînés contre nous, mais la Vierge Marie veille sur nous; elle nous protège contre eux parce qu’ils veulent nous conduire droit en enfer.

Il faut croire en ces paroles; aujourd’hui, à cause de notre monde moderne, lorsqu’on parle de l’enfer, on tourne le regard, on ne veut pas entendre et ceux qui écoutent essaient de nous convaincre que cela est faux.

Enfants de Dieu nous sommes et enfants de Dieu nous devons être.

Dieu le Fils nous a parlé de l’enfer et cela est écrit dans l’Évangile; à plusieurs endroits, nous pouvons trouver ces paroles, nous mettant en garde contre l’enfer.

L’enfer est un lieu où les anges déchus habitent; c’est eux qui nous veulent à cet endroit, nous, nous ne voulons pas y aller; mais leurs ruses sont au-dessus de ce que nous, nous pouvons penser, leurs plans sont diaboliques.

 

Jésus : «Il faut y croire, mes enfants d’amour, l’Esprit de Dieu est sur vous.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il veut nous faire voir la Volonté de Dieu qui est de nous ouvrir les yeux sur ce qui pourrait arriver si nous n’écoutons pas la Parole.

Faire ce que Dieu nous demande, c’est nous protéger contre nous-mêmes; la Parole nous a été enseignée pour nous protéger et non pas pour nous faire peur.

Si nous ne voulons pas entendre parler d’enfer, c’est parce que nous avons de la peur en nous et la peur en nous n’est pas entrée par les enseignements de Jésus, la peur en nous est venue parce que nous n’avons pas voulu faire ce qu’il demandait.

Nous devons ouvrir notre intérieur aux grâces de Dieu.

La Mère de Dieu nous demande d’être obéissants envers son Fils; elle, elle connaît ce qui est nuisible à notre âme : elle est la Mère du Fils de Dieu, elle a reçu tant de grâces et ces grâces sont pour nous : écoutez ce qu’elle a à nous dire.

 

La Vierge Marie : Je suis la Mère du Divin Sauveur. Vous vivez tous unis en le Cœur de mon Fils; vous devez vous conduire bien entre vous afin que vous puissiez entrer en vous.

Comme il est difficile pour vous d’entrer en vous lorsque vous n’êtes pas bons envers vos frères et vos sœurs; seuls les enfants bons peuvent facilement entrer en eux.

Le chemin qui vous fait entrer en vous n’est que bonté; la bonté vous fait glisser en vous; la bonté ne résiste pas à l’amour de Dieu : tout de vous doit être dans la bonté.

Faire de bonnes actions, dire des paroles bonnes envers votre prochain, c’est vous montrer que vous méritez les grâces de mon Fils, c’est découvrir que vous êtes appelés à l’amour, c’est être récompensés par les grâces de Dieu pour toutes les faveurs que vous lui avez accordées.

Par votre oui, c’est vous-mêmes qui décidez d’être bons, Dieu ne peut vous forcer à être bons; mes enfants, il le voudrait tant!

À vous de demander des grâces de bonté.

Voyez-vous, chacun de vous avez en vous de l’amour, mais vous ne savez pas comment l’utiliser; à force de négliger vos demandes, vous devenez comme des enfants ne pensant plus à demander; vous vous éloignez de ce qui est bon pour vous et vous apprenez à vous faire du mal.

Petits enfants de mon Fils, mes petits enfants, je veux vous apprendre à reconnaître la bonté afin que vous puissiez reconnaître ce qu’il y a autour de vous.

Combien de fois mon Fils vous a montré la bonté, et vous n’avez rien vu; vous avez été incommodés devant la bonté : vous vous sentiez mal à l’aise devant ce qui était bon, vous ne saviez pas quelle attitude prendre.

Mes enfants, c’est parce qu’à l’intérieur de vous, il y a des troubles; il faut faire du nettoyage en vous, il faut que vous appreniez à tout donner à mon Fils afin que vous puissiez reconnaître la bonté qui est autour de vous; ainsi, vous pourrez répondre à la bonté en étant dans la joie, en ne ressentant pas la peur.

Il y a des enfants qui ont peur et qui refusent que quelqu’un les aide par peur que celui-ci lui cause du trouble; ils se demandent si vraiment la personne est en bonne disposition; ils pensent tellement à ce qu’elle est qu’il oublie que la personne devant lui est choisie de Dieu.

Mes petits enfants, lorsque vous rencontrez une personne qui est bonne, ne savez-vous pas que Dieu l’a mise sur votre route? Ne savez-vous pas que Dieu savait que vous aviez besoin de cette personne? Il faut vous abandonner entre les mains de Dieu, il faut reconnaître la bonté de Dieu.

Mon Fils est venu parmi vous pour vous parler de l’amour; lorsqu’il était sur la terre, il s’est promené avec ses amis, il s’est tenu auprès d’eux pour leur montrer la bonté.

Saviez-vous, mes enfants, que lorsqu’il était avec ses amis, il démontrait à l’un que l’autre était auprès de lui pour l’aider, pour lui montrer que Dieu l’aimait; ils ont commencé à ouvrir leurs yeux parce qu’ils ont fait confiance à mon Fils; eux qui se connaissaient à peine et d’autres pas du tout sont devenus un groupe d’amis sur lequel ils pouvaient compter; ils ont formé l’Église; ils sont devenus les premiers apôtres de l’Église : ils sont des exemples pour vous.

Mes enfants, si mon Fils a réussi à faire de ces personnes des apôtres d’amour, il le fera aussi avec vous.

Il veut soigner vos blessures, il veut vous montrer à avancer sur le chemin qui vous conduit vers la Terre Nouvelle en étant ensemble dans la paix, dans la joie d’être avec vos frères et vos sœurs : il veut que vous soyez tous des apôtres d’amour en l’Église.

Mes enfants d’amour, écoutez bien les leçons de mon Fils, vous avez tant à apprendre!

La Mère de Dieu vous demande de faire des efforts.

Reconnaissez que ce n’est pas le monde à l’extérieur qui va vous aider à reconnaître l’amour qui habite en vos frères et vos sœurs, c’est mon Fils seulement qui peut vous le faire découvrir.

Moi, la Mère de Dieu, je vais vous y conduire, je vais vous amener à l’intérieur de l’Amour; bientôt vous serez en vous, bientôt vous verrez le Fils de Dieu, vous verrez qui vous êtes à l’intérieur de vous.

Il est important de bien vous conduire, car c’est vous que vous verrez; vous ne verrez pas l’intérieur de vos frères et sœurs, vous verrez votre conduite face à eux; une seule mauvaise conduite envers eux, c’est une mauvaise conduite envers mon Fils.

Soyez attentifs à mes paroles, laissez couler en vous ces paroles; elles vous accordent des grâces, car tout vient de la Volonté de Dieu le Père.

Vous êtes en ce moment en face de l’agir de Dieu, et l’agir de Dieu est en vous; vous ne pouvez profiter de ces paroles avec ce que vous êtes à l’extérieur de vous; il est plus facile de comprendre pour un enfant qui est avec l’amour qu’un enfant qui est avec la haine.

Voilà pourquoi mon Fils vous parle de l’amour, il veut vous faire saisir l’amour : l’amour, ça pardonne, ça offre; l’amour, ça apporte la paix, ça donne la liberté, ça apprend à respecter, ça vous apporte la patience.

Vous manquez tant de patience, mes enfants! Combien d’entre vous ont hâte au retour de mon Fils? Mais avant le retour de mon Fils, mes enfants, il faut que vous regardiez en vous la vie, votre vie, en l’Église.

On parle du retour de mon Fils, on parle de faux prophètes, on parle de guerres, on parle d’épidémies, de tremblements de terre, on regarde les signes du Ciel, mais on ne parle pas de préparation, d’attention, d’obéissance, de privations, de pénitences, de prières : tout cela est essentiel à ce qui vient.

On veut continuer à vivre comme si de rien n’était.

Mes enfants, il faut vous préparer à entrer en vous, c’est en vous que vous allez vivre ce moment de purification, il est très important pour vous d’y croire.

Ceux qui se posent des questions, ils demeurent dans l’incertitude, car ils attendent une réponse qui viendra de l’extérieur; ils perdent des grâces, et le temps, mes enfants, est si important pour vous : il faut vous préparer.

Mes enfants, je vous demande la prière, je vous demande de vous conduire en être bons.

Cessez, mes enfants, de parler en mal de l’Église; j’entends vos conversations : vous parlez contre mes prêtres, vous parlez contre mon mouvement d’amour.

Il faut faire confiance en la Mère de Dieu, j’ai préparé les prêtres.

Mes enfants, certains prêtres sont préparés à ce qui vient, ils se donnent sans compter; ils font savoir aux enfants de la Lumière qu’il faut qu’ils soient obéissants; ils savent que la Mère de Dieu est présente; eux ne tournent pas leur regard sur ce qui est faux, ils ont les yeux fixés sur vous pour vous apprendre à avancer.

Il est vrai, mes enfants, qu’il y a de la souffrance parmi certains de mes prêtres, mais ce n’est pas à vous de les aider avec vos paroles, ce ne sont pas vos paroles, qui sont sans amour, qui vont les aider.

Mes enfants, faites bien attention, Satan veut se servir de vous pour mettre les prêtres en épreuve; écoutez bien ce qu’il veut faire : lorsqu’un seul d’entre vous parle contre un prêtre et qu’un prêtre le sait, cela est contre vous, cela (lui) démontre que vous n’êtes pas dans le bon chemin, car il a en lui le sacerdoce; le Sacerdoce est mon Fils, et il ne peut être en accord avec vous.

Voyez-vous, lorsque vous parlez ainsi, vous éloignez de vous les grâces du sacerdoce et les grâces du sacerdoce ne peuvent plus vous protéger : Satan fait en sorte de vous éloigner de la puissance du sacerdoce afin que vous soyez seuls avec vous-mêmes.

Le Sacerdoce est sur la terre, mes enfants, c’est mon Fils, et mon Fils est sur la terre près de vous.

Lorsque vous parlez contre un prêtre, vous parlez contre mon Fils, et si vous ne voulez pas de mon Fils, lui s’éloigne de vous jusqu’à ce que vous redeveniez bons, et lorsqu’un autre prêtre entend vos paroles, le sacerdoce qu’il est, par Jésus, ne peut être en accord avec vos paroles, (car) vos paroles font du tort à l’Église, et le Sacerdoce qu’ils représentent s’unit à tous les sacerdoces de l’Église, et cela devient un mouvement contre vous-mêmes.

L’Église est là pour vous protéger.

Vous êtes tous des enfants de Dieu, et vous êtes en l’Église, alors vous vous mettez à dos l’Église, vous vous retrouvez seuls sans la protection des grâces de l’Église.

La famille de Dieu commence par l’Église puisqu’elle a été fondée par mon Fils et que les premiers étaient les apôtres.

Voyez-vous, c’est comme si vous vous promeniez avec les apôtres et que vous parliez à l’un des apôtres contre les autres apôtres; alors, eux vous regardent et cela blesse l’Église : la Mère de Dieu vous prévient de ces dangers.

Satan, c’est lui l’auteur de votre mal; il a formé des plans, mes enfants, contre vous, et vous tombez dans ses pièges.

La Mère de l’Église vous prévient, mes enfants : ne faites plus cela, aidez plutôt les prêtres, ils ont besoin de vous, de vos prières, de vos paroles d’amour et d’encouragement.

Mes enfants, l’Église souffre parce qu’en son sein il y a beaucoup d’enfants qui parlent contre les prêtres.

Le scandale a été ouvert à cause de Satan; on a mis devant les enfants de Dieu leurs faiblesses causées par leur être humain, et on a voulu salir leur sacerdoce : beaucoup sont tombés dans ces pièges.

Satan se sert des enfants priants parce que ce sont les enfants qui souffrent le plus lorsqu’ils sont en péché; ainsi, il peut plus facilement vous manipuler.

Lorsque des enfants qui ne pratiquent pas entendent ces paroles, ils sont choqués contre l’Église, ils jugent l’Église, mais lorsque quelques jours plus tard on n’en parle plus, eux continuent à vivre leur vie sans amour, sans Dieu; mais les enfants qui prient et qui entendent cela, eux sont si blessés qu’ils ont de la difficulté à oublier, et plus ils souffrent, plus ils n’oublient pas, et cela devient très facile pour eux de parler contre les prêtres; ce n’est pas parce que ces enfants veulent parler en mal, c’est qu’ils sortent leurs souffrances, et ces souffrances se tournent contre eux, et ils nuisent aux prêtres puisqu’ils ne prient pas pour les prêtres.

Retenez vos paroles, mes enfants, et donnez-les à Jésus, mon Fils : il va les prendre et il va vous aider en vous donnant des grâces de guérison, tranquillement vous verrez que votre vie va changer : vous serez plus conciliants pour les prêtres qui sont dans des erreurs.

Je vois, mes enfants, ce qui se passe dans vos églises, je vois vos souffrances dans vos églises; vous fixez votre regard sur les prêtres et lorsque vous remarquez qu’ils ne font pas (le rite de la messe) comme ils devraient le faire, vous souffrez.

Oh! mes enfants, baissez vos yeux; soyez humbles; soyez obéissants à l’appel de votre Maman qui vous demande de ne point regarder leurs erreurs faites dans la souffrance, mais de donner.

Mon Fils se donne à vous devant vous, il se présente en holocauste, mes enfants, devant Dieu; alors faites offrande et offrez qui vous êtes, vous qui souffrez; offrez l’Église et mettez ce prêtre devant vous comme si c’était lui-même qui vous offrait, c’est lui qui est le représentant de mon Fils; mettez-vous dans les mains de ce prêtre, il deviendra pour vous un mouvement d’amour.

Voyez-vous, il va vous aider; il va vous offrir et vous, vous le prendrez en vous parce que vous serez toute amoureuse de son sacerdoce : c’est lui qui peut faire cela, pas vous.

Voyez-vous la puissance du sacerdoce qu’il a en lui? Il est lui-même dans ce sacerdoce; alors, offrez l’homme qu’il est en son sacerdoce, c’est un mouvement d’amour.

Mon Fils est venu sur la terre et il a pris (corps) pour venir à vous afin que vous le voyiez; alors, mes enfants, lorsque vous voyez le prêtre dans sa personne, c’est qu’il a un corps comme mon Fils, alors il a en lui mon Fils et mon Fils, lui, le couvre de sa Présence; alors lorsqu’il est devant vous à l’autel, le corps de ce prêtre qui est humain est couvert par le Corps de mon Fils et son sacerdoce en le prêtre est le Sacerdoce divin de mon Fils, car mon Fils l’a couvert.

Voyez-vous, mes enfants, que vous, vous devez tout à mon Fils qui est devant vos yeux! Soyez humbles devant la grandeur de Dieu présent : mes enfants, lorsque le prêtre met ses habits, il met le linge de mon Fils.

Voyez-vous, tout a été pour vous une découverte.

Ces moments ont été choisis du Ciel pour vous faire découvrir votre conduite afin que vous puissiez maintenant donner tout à mon Fils : donnez-lui tout ce que vous avez dit et cela dès votre première parole, et mon Fils va purifier vos paroles qui ont été dites contre mes prêtres.

Et je vous demande, mes enfants : en vous, il y a aussi vos frères et vos sœurs, eux aussi ont dit des paroles contre les prêtres et cela depuis si longtemps; je vous demande, mes enfants, de les donner à mon Fils, et mon Fils les purifiera : ce mouvement fera des mouvements en l’Église.

Faites ce que je vous demande, je veux vous conduire dans l’amour; l’amour va vous envelopper; soyez des petits enfants, soyez bons.

Voyez-vous, cela vous a montré que Dieu a mis sur votre chemin des êtres bons, et vous n’avez pas vu mon Fils à travers eux : tout est là pour vous faire avancer comme Dieu le veut.

Aimez-vous, ne jugez point, ainsi vous ne tomberez pas dans le piège de Satan :

protégez-vous, mes enfants.

La Mère de Dieu vous a demandé de faire vos prières avec votre cœur, votre cœur doit être tendre pour les autres.

Il est beaucoup plus facile pour vous de comprendre maintenant, c’est parce que vous avez accepté mes grâces; vous êtes si fragiles devant vos faiblesses, votre Maman d‘amour vous connaît et elle vous veut comme des petits enfants d’amour.

Soyez bons, mes enfants; tout doit être en ces temps de préparation, pour votre venue en vous, de l’amour pour vous, de l’amour pour votre prochain, et votre purification sera pour vous de la joie; vous vivrez en êtres d’amour, mes enfants, afin que tout soit dans l’agir de Dieu pour l’Église.

La Mère de Dieu fait descendre sur vous des grâces d’obéissance; maintenant, mes enfants, faites votre signe de la croix.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous, nous avons été en présence même des grâces du Ciel; ce moment s’inscrit dans notre vie, il nous fait avancer sur notre chemin de vie.

Nous devons nous rappeler que nous avons été tous choisis de Dieu le Père pour vivre sur la terre en êtres d’amour, mais nous devons aussi nous rappeler que nous ne l’avons pas été : nous n’avons pas soutenu l’Église.

Comment comprendre tout cela avec ce que nous sommes? Quelle est donc notre excuse devant ce que nous venons d’entendre, sinon de ne pas avoir été souvent à l’intérieur de nous?

Nous avons souvent pleuré sur notre vie, on a souvent été découragés lorsqu’on a vu nos enfants qui quittaient l’Église, qui faisaient leur vie comme bon leur semble; on a regardé la télévision et on a (souvent) vu nos frères et nos sœurs qui, eux, se conduisaient mal; quand on a entendu parler de guerres, on était comme estomaqués; quand on a entendu les nouvelles qui nous parlaient d’inondations, d’ouragans, on regardait cela comme une catastrophe, mais pour nous-mêmes parce qu’on se sentait impuissant devant tout ce qui se passait; combien de fois on s’est dit : “Qu’est-ce qu’on peut faire?”

On aurait pu faire quoi? C’est nous-mêmes qui avons comme fait ces mouvements.

On ne peut pas accuser les uns ou les autres, c’est comme si on avait négligé notre intérieur, à nous; on ne peut plus regarder les autres en les accusant maintenant, parce que c’est à partir de nous-mêmes, seuls avec nous-mêmes, que nous devons regarder ce que nous avons fait, parce qu’à l’intérieur de nous, c’est contre nous-mêmes que nous avons fait des actions, contre ceux que nous portions en nous : c’est le résultat de notre ignorance, à nous.

Comment vivre cela avec ce que nous sommes, avec notre négligence, maintenant? Comment faire maintenant pour revenir en arrière sans nous culpabiliser?

Jésus ne nous parle pas ainsi pour nous démontrer que nous sommes des êtres irresponsables; Dieu est avec nous, il n’est pas contre nous, il nous envoie sa Mère pour nous parler.

Si nous avons entendu notre Mère avec notre cœur, on n’a pas entendu un seul mot de reproches : elle nous a demandé d’être obéissants, d’être humbles; elle nous a parlé de prières, de jeûnes; c’est comme si elle nous demandait d’avancer et de faire ce que nous avons à faire; elle ne nous a pas parlé pour qu’on puisse regarder notre vie en arrière : tout ce que nous avons entendu, c’était pour nous aider à voir clair et à avancer.

Elle ne veut pas que nous pleurions sur nous-mêmes, Maman Marie,

 elle veut maintenant qu’on avance dans l’amour.

Alors, c’est ce que nous allons faire, avec ses grâces; sans les grâces du Ciel, nous ne pourrons pas avancer.

Lorsqu’elle nous a parlé, elle étendait son manteau sur nous, elle nous donnait des grâces; alors, nous devons faire ce qu’elle nous demande, avec ses grâces qu’elle nous a données tantôt.

Nous devons prendre toutes nos paroles que nous avons dites et les donner à Jésus, nous devons aussi prendre toutes les paroles qui ont été dites par nos frères et nos sœurs et qui sont en nous et les donner à Jésus; nous devons accepter de le faire dans l’abandon.

Si nous le faisons avec notre volonté humaine, cela n’aura pas beaucoup d’impact; nous devons dire : “Jésus, fais-le pour nous”; il ne refusera pas de prendre nos paroles comme si c’était ses propres paroles, il l’a déjà fait d’ailleurs, Jésus, à l’agonie.

À l’agonie, Jésus a pris tout ce que nous avions fait, dit, et il l’a présenté à son Père comme si c’était ses propres paroles; alors s’il l’a fait une fois, il le fait toujours : nous devons laisser à Jésus ce qui est à Jésus; mais si nous, nous le faisons par nous-mêmes, nous n’aurons pas les grâces que Jésus, lui, peut nous obtenir parce que l’agonie, c’est à Jésus; nous, nous étions en lui, alors c’est pour ça qu’il faut le faire comme si nous étions en lui, enveloppés par Jésus.

C’est très important ce que nous venons d’entendre; il faut que nous soyons obéissants.

Le sacerdoce, c’est si important dans la vie, dans notre vie.

Nous ne l’avons pas compris, on savait que les prêtres, c‘était important dans notre vie, mais pas comme on vient de l’entendre : autant que c’est important (pour nous de bien se conduire), autant que si on se conduit mal, ça peut être contre nous.

Notre pape, Jean-Paul II, réunit à lui-même tous les sacerdoces sur la terre; en ce moment, le sacerdoce de notre saint Père porte tous les sacerdoces sur lui : il est si souffrant!

Nous pouvons le regarder souffrir, il a de la difficulté à avancer; c’est comme si, nous, on avait contribué à la maladie de notre saint Père.

Lorsque nous voyons ça de l’extérieur, on voit ça comme quelque chose : "Ben, voyons donc!"; mais lorsque nous regardons cela à l’intérieur de nous, là, ça prend une tournure différente parce que ça a fait la souffrance de notre saint Père, et personne ne peut nier que notre saint Père souffre à cause de l’Église : il soutient tous les sacerdoces de ses prêtres.

Alors nous devons aider notre saint Père : il faut se souvenir que lorsque Jésus était à l’agonie, un ange est venu consoler Jésus; alors, consolons notre saint Père nous aussi, comme si nous étions pour notre saint Père un ange; oh! nous ne sommes pas un ange, mais nous pouvons être, en lui, un soutien par Jésus : nous avançons vers notre purification et cela fait partie de notre purification.

Voyez-vous, on fait notre purification avec les grâces de Dieu, ça nous aide à avancer.

Lorsqu’on parlait de la purification, on croyait que cela était tellement difficile, mais avec les grâces de Dieu, cela devient pour nous des grâces.

Ce n’est que Jésus qui peut changer notre souffrance en grâces, il le fait lorsque nous donnons notre maladie physique, alors il va le faire pour notre purification aussi; cela va être des grâces pour nous : des grâces sanctifiantes pour notre chair.

Alors, Jésus dit : «Cela est suffisant, ma fille». Merci.

 

Il y a beaucoup de paroles qui se sont dites depuis cet après-midi; il y en a sûrement qui ont été dites qui ont pénétré en nous, mais qui ont comme fait en nous un petit arrêt, là, en voulant dire : "Qu’est-ce qu’elle a voulu dire?"

 

Traduction de Irena suite à un commentaire dans la salle : Elle dit qu’elle remercie Dieu qui t’a envoyée ici.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, je donne ça à Dieu; il faut aussi apprendre à remercier Dieu pour nous-mêmes.

Chacun d’entre nous avons dit oui à Jésus aujourd’hui, voilà pourquoi nous avons entendu ces paroles; chacun de nous, nous avons donné à l’autre aujourd’hui; tous nos oui ont été entendus à l’intérieur de nous pour ne faire qu’un seul oui; alors, Jésus, il a pris ce oui : c’est pour ça que nous avons entendu ces paroles.

Chacun de nous contribue à donner à l’autre : ce que nous avons entendu, ce sont les paroles qui étaient en nous, alors ces paroles ont nourri nos frères et nos sœurs à côté de nous; chacun de nous avons donné une partie de nous-mêmes à l’autre.

Alors nous avons entendu, chacun de nous, ce qui nous appartenait pour que d’autres en profitent; ça, c’est un mouvement en l’Église, et il ne faut pas oublier qu’on n’était pas encore tout seuls dans cette salle, il y avait aussi, à l’intérieur de nous, tous les enfants du monde; alors, au nom de tous nos frères et nos sœurs, on se dit tous : "Merci".

Et Nicole a dit, on se donne un ‘hug’.

 

Q. : Qu’est-ce que la prière dans la Divine Volonté?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La prière dans la Divine Volonté : lorsque nous on prie, on dit des prières apprises qui sortent de notre voix à nous; ça, c’est fait avec notre volonté à nous; on a appris à prier et on s’en sert de ces prières, mais si on donne notre volonté humaine à Jésus en disant tout simplement : “Jésus, ce n’est pas ma volonté, c’est ta Volonté; prie, toi”; alors, on va continuer à dire comme un "Je vous salue Marie", à haute voix, mais parce que nous avons consenti à donner notre volonté à Jésus, Jésus enveloppe notre volonté pour la faire disparaître avec sa Divine Volonté.

Lorsque Jésus était à l’agonie, le soir où il était tout seul, il priait son Père; il a pris chacune de nos volontés : c’est notre volonté qui a fait que nous avons menti, tué, que nous avons violé, alors Jésus prenait notre volonté et il l’enveloppait de sa Volonté, alors il est devenu l’Être de péchés, il n’était plus lui, il était nous.

C’est la Puissance qui a fait qu’il a pu tous nous prendre : c’est la Volonté de l’amour.

Il nous prenait tous en lui, et cela depuis le premier qui a commis des péchés, qui est Adam, jusqu’au dernier qui va venir au monde et qui va commettre des péchés : il les a tous rassemblés en lui, alors nous sommes devenus lui : voyez-vous, c’est la Divine Volonté.

Alors, lorsque nous, nous consentons à demander pardon à Dieu pour avoir dit des paroles contre les prêtres, nous devons le faire et dire : “C’est toi, Jésus, qui demandes pardon”; là, Jésus, il va prendre toutes nos paroles qui nous habitent, qui ont été contre les prêtres; alors il va aller de la première fois qu’une personne a dit des paroles contre les prêtres jusqu’à la dernière qui dira des paroles contre les prêtres : il va faire comme si c’était lui qui avait dit ces paroles et il va demander pardon.

Ça, c’est la puissance de Dieu : c’est la Divine Volonté; il refait le même mouvement qu’il a déjà fait : c’est sa Divine Volonté, la Volonté de son Père, la Volonté de l’Esprit Saint : ils ne peuvent pas se séparer parce que c’est une Volonté d’amour, une Volonté divine.

Il veut que nous portions tous nos frères et nos sœurs du monde entier; il veut prendre tout d’eux pour en faire un mouvement d’amour, et cela donne des joies.

Lorsqu’il reçoit un pardon, cela devient un mouvement d’amour depuis le premier jusqu’au dernier.

Lorsqu’ils seront devant Dieu, ce mouvement sera devant eux; cela sera un mouvement aussi d’amour pour toute l’Église, et cela ira encore beaucoup plus loin que cela, mais il dit : «Là, en ce moment, vous êtes trop petits pour aller plus loin».

 

Q. : Je ne comprends pas très bien comment on porte le monde entier en nous?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus est venu sur la terre; lorsqu’il est venu sur la terre, il a pris tous les enfants du monde (comme ils étaient) à l’intérieur de lui : Jésus est Dieu, il EST et il sera.

À l’intérieur de lui est la création, à l’intérieur de lui toutes les créatures de Dieu sont, il ne peut pas se séparer de son tout : lorsqu’il est venu sur la terre, il portait tous les enfants du monde.

Lorsqu’il est venu fonder son Église, il a choisi ses apôtres : il a institué son Église; lorsqu’il a institué son Église, il l’a instituée avec tous les enfants du monde puisqu’ils étaient en lui.

Alors lorsque nous, nous venons au monde, nous avons Jésus en nous; il ne peut pas se séparer de son tout : il est en nous; alors, à l’intérieur de nous, nous avons le monde.

Lorsque nous nous faisons baptiser, nous entrons dans la famille de Dieu, dans l’Église de Dieu; tout ce qu’il a institué est en nous parce qu’il est le Mouvement, il ne peut pas se séparer de ses mouvements; il a institué l’Église, alors nous, qui sommes baptisés, nous sommes l’Église.

Lorsque nous faisons une action, nous la faisons en l’Église, alors tous ceux qui sont en l’Église ont le résultat de cette action : si l’action est bonne, c’est des grâces pour tout le monde, mais si elle n’est pas bonne, nous nuisons à tous ceux qui sont en l’Église; (mais c’est) plus grand encore pour ceux qui sont baptisés : nous avons reçu le baptême, nous avons reçu, par l’onction, l’Esprit Saint, nous avons reçu des dons d’amour, alors plus grand nous sera demandé lorsque nous verrons notre vie en nous : nous sommes là pour aider notre prochain sans condition.

 

Q. : Est-ce qu’on devra donner notre oui lorsqu’on verra Jésus en nous?  Est-ce que ceux qui vont dire un oui à cause de la peur vont recevoir la même grâce que nous qui avons dit notre oui?

 

R. : La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous portons un oui en nous; ceux que nous portons en nous portent un oui en eux.

En ce moment, certains portent un oui alors qu’ils ont peur en eux; d’autres ne croient pas en Dieu, d’autres ne veulent pas pratiquer, d’autres ignorent complètement que Dieu les aime, ils vivent leur vie comme si Dieu n’existait pas, certains ont honte de ce qu’ils sont, alors ils refusent l’aide de l’Église.

Dieu les connaît, Dieu est en eux; Dieu se sert de nous pour eux; ça va leur donner des grâces au moment où eux seront prêts.

Certains vont le dire durant notre purification à cause de notre comportement parce qu’en eux il va y avoir des grâces qui vont guérir leur peur; d’autres vont résister, ne voulant pas être comme nous, mais les grâces en eux feront des guérisons; et lorsque viendra le moment où nous entrerons en nous et qu’eux entreront en eux, les grâces qu’ils auront obtenues à cause de notre oui ressurgiront, les aideront à voir leur oui et ils accepteront les grâces de Dieu.

Dieu les connaît tous; pas un seul enfant qui porte un oui ne pourra ne pas profiter des grâces : tout le monde va en profiter.

Dieu a tout préparé; voilà pourquoi il réunit des enfants afin que nous, nous devenions des instruments d’amour entre les mains de Dieu : nous sommes l’Église.

Jésus est mort pour nous et nous devons mourir en Jésus pour les autres jusqu’au moment où eux aussi vont mourir en Jésus pour la plus grande gloire de Dieu le Père.

 

Q. : Est-ce que ça veut dire qu’on porte une grande responsabilité : celle des autres?

 

R. : La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La responsabilité ne nous en revient pas, elle est à Dieu; ce qui est à nous, c’est notre oui, c’est tout ce qui nous appartient, le reste, c’est à Jésus; c’est lui qui est venu porter la croix, déverser son Précieux Sang pour chacun de nous. Merci.