18-07-2022 – La pauvreté du coeur est en le coeur de tous mes enfants
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2022-07-18
Pour tous nos frères et nos sœurs, premières nations au Canada.
La pauvreté du cœur est en chacun de mes enfants. Je vais vous conduire là où votre cœur s’enrichira de grâces. Qui peut aller là où moi je le veux? Que ceux qui m’écoutent, que ceux qui sont enveloppés de ma lumière.
Mes enfants d’amour, cela fait tant et tant d’années que je parle en votre cœur. Lorsque je parle en votre cœur, je parle dans le cœur de tous mes enfants. N’ai-je pas prononcé ces mots dès le début? Tout est en vous, tout est pour vous. Vous êtes éternels, aucun de vous n’avez vingt ans et plus encore; je dirais, mes enfants, que votre temps ne se compte pas, sur la terre, oui, mais pas à l’intérieur de vous, là où, lorsque je suis venu sur la terre, un monde d’amour commençait à se construire. Je vous ai parlé d’un monde nouveau, je vous ai dit que tous ceux qui étaient pour entendre ma voix étaient pour prononcer les paroles de l’amour. N’ai-je pas prononcé ces mots à Moïse? Vous êtes de ceux dont j’ai parlé.
Je vous aime, mes enfants. Donnez-vous pour tous les enfants du monde, non pas seulement pour ceux de votre pays, le Canada; donnez-vous pour la terre entière, et la terre, mes enfants, n’a pas débuté qu’à votre venue : bien avant, bien avant, bien avant. Pourquoi je vous parle ainsi? Pour vous montrer, mes enfants, que lorsque Dieu veut, déjà tout est accompli. Lorsque j‘ai voulu l’univers, lorsque j’ai voulu votre berceau d’amour, tout s’accomplissait. Je suis Dieu. Je parle en votre cœur, je vous mets au diapason afin que vous sachiez que vous êtes mes ‘je t’aime’, que tous ensemble vous ne faites qu’un seul ‘Je t’aime’, le mien. Lorsqu’il en manque un seul, cela veut dire, mes enfants, que mon ‘Je t’aime’, vous ne pouvez y gouter à sa pleine, pleine, pleine mesure. Moi, j’y goûte parce que je suis Dieu et je vous ai tous voulu parfaits, parfaits, mes enfants, à mon Image.
Je vous le demande encore, mes enfants, voulez-vous vous donner pour vos frères et vos sœurs du monde entier? Êtes-vous prêts, mes enfants, à prendre la souffrance que tous ceux, au début de votre pays, le Canada, ont ressentie à cause de ceux qui venaient après eux? Êtes-vous prêts à cela? R : (Oui.) Mes enfants d’amour, je les aime, comme je vous aime. Vous êtes tous, tous, tous, ma famille. Je vous aime tant!
C’est l’esprit de ce monde qui vous a séparé, c’est l’esprit de ce monde qui a fait que vous n’avez pu vous comprendre. J’ai envoyé mon fils, (Jacques Cartier) oui. Au tout début, mes enfants, qui a mis les pieds au Canada, au tout début, avant que vous vous soyez? R : (Les autochtones.) Tu as raison, mon fils, eux avant vous, les premières nations. Avez-vous appris à les respecter, avez-vous appris à leur donner ce qu’ils attendaient de vous? Il y en a parmi eux qui (vous) ont fait la guerre, d’autres vous ont accueilli avec amour.
Je mets dans votre cœur la joie qu’ils ont ressentie lorsque vous êtes arrivés pour leur montrer ma Présence. Oui, ils l’ont ressentie, ils ont ressenti que tout ce qu’ils avaient en eux comme tradition s’accomplissait. Soyez un seul peuple, soyez un; ainsi, vous accueillerez dans votre cœur non seulement les premières nations et vous, mais toute, toute, toute, toute, toute, toute nation, mes enfants. Soyez un! Voilà pourquoi je vous demande, mes enfants, de former mon Église. Mon Église a à la tête le Pape, François. Soyez membres d’amour, soyez un battement de cœur dans l’Église.
Aujourd’hui, regardez ce que l’on fait: on tue des chrétiens, on ne veut pas d’eux. N’est-ce pas ce qu’on a fait au tout début? Cela continue! Je suis venu sur la terre parce que mon Père l’a demandé. J’ai dit Oui. Je vous ai montré à être forts à travers les paroles des prophètes; oui, je vous ai parlé à travers les paroles de mes apôtres; je vous ai parlé à travers les paroles de tous mes saints. Je vous ai parlé, soyez forts et vrais. N’ayez crainte, continuez à être mes choisis. Accueillez- les comme étant vos frères et vos sœurs, et je
parle de tous ceux que vous ne connaissez pas et qui viennent en ce pays.
Vous avez dans votre cœur la première nation, vous avez appris à être frères et sœurs; apprenez aussi à être frères et sœurs avec toutes les nations du monde, et je vous le demande pour que vous preniez dans votre cœur la Russie. Je vous demande aussi de prendre dans votre cœur tous les pays qui font la guerre à ceux qui croient en moi. Vous entendez parler de guerres, de divisions, de séparations, écoutez votre cœur, vous allez entendre parler de paix, de joie, d’amour.
Oui, mes enfants, il y a de la paix dans votre cœur, il a de la joie dans votre cœur, il y a de l’amour; alors, allez crier cela sur les plaines d’Abraham. N’y a-t-il pas eu de la guerre là-bas, de la division? Alors mes enfants, allez montrer à votre Dieu que vous êtes victorieux, que c’est vous qui avez gagné la guerre. Car il n’y a pas eu de défaite entre les Anglais et les Français (et les) premières nations, il y en a eu une seule, c’est celle de Satan. Alors allez crier ‘victoire’, il ressentira sa défaite. Est-ce que vous y croyez? R : (Oui.) Alors, petits enfants d’amour, à vous de décider si vous voulez montrer à l’Église que vous êtes les victorieux avec tous mes enfants du monde.
Je vous aime, mes trésors, je vous aime. Soyez des grâces qui descendront sur la terre entière, à chaque fraction de seconde lorsque vous mettrez les pieds là-bas. Je vous aime, mes trésors, je vous aime. Seigneur. Merci, Seigneur!